La gauche et la sécurité.
Si vous me demandiez à brûle-pourpoint pourquoi je ne suis pas d'extrême gauche, je serais moins prompt à répondre qu'à la précédente question dans le dernier billet. D'extrême gauche, j'aurais pu : j'ai commencé mes études dans la très soixante-huitarde fac de Vincennes, j'ai fait partie en 1988 des comités Juquin. Tout ça me plaisait bien. Il y a trente ans, entre les notables socialistes et les militants trotskystes, mon coeur penchait plutôt du côté des seconds. Je me demande même parfois s'il ne m'en est pas resté quelque chose, une pulsion anticonformiste, vaguement libertaire, quand je me retrouve au milieu des élus de mon Parti.
Mais je n'ai plus de cheveux longs, et même moins de cheveux qu'à cette époque où l'on était très vite taxé de "gauchistes chevelu", ou au contraire de "crâne rasé" si on appartenait au bord opposé. C'est irrémédiable : depuis une bonne vingtaine d'années, je suis socialiste réformiste, je mourrai ainsi, ma pierre tombale pourra se voir graver "Ci-gît un social-démocrate", entouré des regrets éternels de tous mes amis, et même j'en suis sûr de quelques ennemis.
Mais pourquoi ne suis-je donc pas d'extrême gauche ? Je répondrais tout de go : parce que je ne partage absolument pas les réactions de principe de l'extrême gauche locale à l'installation du système de vidéo-surveillance cette semaine à Saint-Quentin. J'en parle aussi parce que c'est un excellent contrepoint à la position de l'UMP sur la sécurité, que j'ai dans le précédent billet évoquée. Ce n'est pas parce que la droite est sécuritaire (ce que je dénonce) que la gauche doit renoncer à se préoccuper des questions de sécurité. Si Jospin a été battu par Le Pen en 2 002, c'est en partie sur ce thème-là. Si la droite en fait ses choux gras (et très très gras avec Cayeux), c'est qu'elle sait que c'est notre talon d'Achille. Ne lui offrons pas ce prétexte, ne lui donnons pas ce plaisir.
L'extrême gauche locale est pour l'essentiel, sociologiquement, constituée d'enseignants radicalisés qui sont entrés en consonance avec l'aile gauche du PS de tradition poperéniste. Comme je suis un peu marxiste et que j'ai lu certains livres, je sais qu'une idéologie est le reflet des préoccupations d'un groupe social. J'appartiens moi aussi à leur milieu, même si je n'en tire pas les mêmes conclusions politiques. Quand on est prof au lycée Henri-Martin, qu'on habite la rue Jean-Jaurès (les Saint-Quentinois comprendront et les autres devineront), on n'a aucun problème d'insécurité. Si ça ne dépendait que de moi, de ma vie, je n'en parlerais même pas, je protesterais à mon tour, comme les autres, contre la vidéo-surveillance.
Il se trouve que je rencontre pas mal de monde, des milieux très différents de mon cercle professionnel, des personnes souvent défavorisées, d'autres venant de catégories simplement populaires, et que j'ai vite compris : l'insécurité est pour elles un vrai problème, une réelle souffrance. Je n'ai pas le droit de leur dire qu'elles se trompent, qu'elles exagèrent, qu'il y a bien plus important et bien plus grave (et pourtant je le pense), j'ai le devoir de les écouter, de les croire, de les prendre au sérieux et de leur apporter des réponses. C'est à ce prix, pas toujours facile à assumer, qu'on est un leader politique ou qu'on le devient. Sinon on reste ad vitam aeternam le gérant d'une boutique protestataire.
Mes camarades d'extrême gauche (je les appelle ainsi parce qu'ils restent pour moi des "camarades", même si je ne souhaite pas une alliance politique avec eux) ont à l'égard de la vidéo-surveillance un rejet de principe, qui renvoie à toute une idéologie anarchisante, anti-flic, anti-autoritaire, antifasciste. Même s'ils essaient de rationaliser leurs positions, elles reviennent au fond à ça, que je ne partage pas. Quand le gremetzien Olivier Tournay, au nom de l'opposition municipale, déclare que le système de vidéo-surveillance est "coûteux, inutile et simplement destiné à faire oublier le malaise social", je pense exactement le contraire.
On peut bien évidemment discuter du nombre de caméras ou de leur emplacement, mais on ne peut pas remettre en question leur utilité, leur finalité. Le spécialiste Alain Bauer, qui n'est pas un homme de droite, qui est un esprit éclairé, a dit à ce sujet des choses précieuses. Pourquoi la gauche saint-quentinoise ne serait-elle pas elle aussi éclairée, et par d'autres lumières que celles, par ailleurs respectables, de l'extrême gauche ? C'est pourquoi il nous faut une gauche modérée, ouverte, authentiquement réformiste, une gauche de gestion, de responsabilité, une gauche qui pourra diriger parce qu'elle sera prête à diriger. Nous en sommes encore loin mais il ne dépend que de nous, collectivement, de nous en rapprocher. Il faudra du temps mais j'y crois.
Bonne nuit.
Mais je n'ai plus de cheveux longs, et même moins de cheveux qu'à cette époque où l'on était très vite taxé de "gauchistes chevelu", ou au contraire de "crâne rasé" si on appartenait au bord opposé. C'est irrémédiable : depuis une bonne vingtaine d'années, je suis socialiste réformiste, je mourrai ainsi, ma pierre tombale pourra se voir graver "Ci-gît un social-démocrate", entouré des regrets éternels de tous mes amis, et même j'en suis sûr de quelques ennemis.
Mais pourquoi ne suis-je donc pas d'extrême gauche ? Je répondrais tout de go : parce que je ne partage absolument pas les réactions de principe de l'extrême gauche locale à l'installation du système de vidéo-surveillance cette semaine à Saint-Quentin. J'en parle aussi parce que c'est un excellent contrepoint à la position de l'UMP sur la sécurité, que j'ai dans le précédent billet évoquée. Ce n'est pas parce que la droite est sécuritaire (ce que je dénonce) que la gauche doit renoncer à se préoccuper des questions de sécurité. Si Jospin a été battu par Le Pen en 2 002, c'est en partie sur ce thème-là. Si la droite en fait ses choux gras (et très très gras avec Cayeux), c'est qu'elle sait que c'est notre talon d'Achille. Ne lui offrons pas ce prétexte, ne lui donnons pas ce plaisir.
L'extrême gauche locale est pour l'essentiel, sociologiquement, constituée d'enseignants radicalisés qui sont entrés en consonance avec l'aile gauche du PS de tradition poperéniste. Comme je suis un peu marxiste et que j'ai lu certains livres, je sais qu'une idéologie est le reflet des préoccupations d'un groupe social. J'appartiens moi aussi à leur milieu, même si je n'en tire pas les mêmes conclusions politiques. Quand on est prof au lycée Henri-Martin, qu'on habite la rue Jean-Jaurès (les Saint-Quentinois comprendront et les autres devineront), on n'a aucun problème d'insécurité. Si ça ne dépendait que de moi, de ma vie, je n'en parlerais même pas, je protesterais à mon tour, comme les autres, contre la vidéo-surveillance.
Il se trouve que je rencontre pas mal de monde, des milieux très différents de mon cercle professionnel, des personnes souvent défavorisées, d'autres venant de catégories simplement populaires, et que j'ai vite compris : l'insécurité est pour elles un vrai problème, une réelle souffrance. Je n'ai pas le droit de leur dire qu'elles se trompent, qu'elles exagèrent, qu'il y a bien plus important et bien plus grave (et pourtant je le pense), j'ai le devoir de les écouter, de les croire, de les prendre au sérieux et de leur apporter des réponses. C'est à ce prix, pas toujours facile à assumer, qu'on est un leader politique ou qu'on le devient. Sinon on reste ad vitam aeternam le gérant d'une boutique protestataire.
Mes camarades d'extrême gauche (je les appelle ainsi parce qu'ils restent pour moi des "camarades", même si je ne souhaite pas une alliance politique avec eux) ont à l'égard de la vidéo-surveillance un rejet de principe, qui renvoie à toute une idéologie anarchisante, anti-flic, anti-autoritaire, antifasciste. Même s'ils essaient de rationaliser leurs positions, elles reviennent au fond à ça, que je ne partage pas. Quand le gremetzien Olivier Tournay, au nom de l'opposition municipale, déclare que le système de vidéo-surveillance est "coûteux, inutile et simplement destiné à faire oublier le malaise social", je pense exactement le contraire.
On peut bien évidemment discuter du nombre de caméras ou de leur emplacement, mais on ne peut pas remettre en question leur utilité, leur finalité. Le spécialiste Alain Bauer, qui n'est pas un homme de droite, qui est un esprit éclairé, a dit à ce sujet des choses précieuses. Pourquoi la gauche saint-quentinoise ne serait-elle pas elle aussi éclairée, et par d'autres lumières que celles, par ailleurs respectables, de l'extrême gauche ? C'est pourquoi il nous faut une gauche modérée, ouverte, authentiquement réformiste, une gauche de gestion, de responsabilité, une gauche qui pourra diriger parce qu'elle sera prête à diriger. Nous en sommes encore loin mais il ne dépend que de nous, collectivement, de nous en rapprocher. Il faudra du temps mais j'y crois.
Bonne nuit.
31 Comments:
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en résumé une gauche à droite
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comme avec GUY MOLLET ???
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By Anonyme, at 9:55 PM
Non, une gauche modérée reste de gauche. Mon modèle c'est Mendès-France, surtout pas Guy Mollet, représentant l'aile gauche après guerre, contre Léon Blum. On a vu ce que ça a ensuite donné. Une bonne gauche n'est pas nécessairement radicale.
By Emmanuel Mousset, at 10:14 PM
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y a encore de l' embrouille dans l'air EM - FRITOUILLE ; au fait ça y est LEPAGE elle est chez DANY ....
et EM il a un pied chez BAYROU !!!
POILLADE du week end !!
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By Anonyme, at 10:34 PM
Alain Bauer est l'objet de nombreuses critiques dans les milieux universitaires qui lui reprochent sa vision catastrophiste de la criminologie, sa méthodologie, ses sources statistiques douteuses et son discours politiquement biaisé sur l'insécurité et le terrorisme. Américanophile, il effectue au début des années '90 un stage de six mois à la Science Application International Corporation (SAIC), dont il est devenu par la suite Vice-président pour l'Europe. La SAIC, considérée comme une vitrine des services secrets américains, est un groupe administré par d'anciens directeurs de la CIA et travaillant essentiellement pour le Pentagone. Spécialisée dans les Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication, elle contrôlait notamment à l'époque la société "Network Solutions" qui gérait seule l'ensemble des noms de domaine sur Internet. Depuis cette période de "formation", Alain Bauer prône des méthodes policières répressives inspirées par certaines thèses sécuritaires en vigueur dans les milieux néo-conservateurs américains, parfois très peu compatibles avec le respect des libertés et le droit à la vie privée. Il travaille par ailleurs régulièrement avec des personnalités ayant milité à l'extrême-droite, dont notamment l'éditeur Xavier Raufer -- Christian de Bongain pour l'état-civil -- co-fondateur des groupuscules "Occident chrétien" et "Ordre nouveau". Enfin et surtout, on lui reproche de mélanger allègrement les genres à titre de Consultant en sécurité pour divers organismes publics (gouvernements, collectivités locales, etc) et de "marchand de peur" PDG de AB Associates. "Sa conception de l'insécurité et des moyens de la combattre assure la promotion de ses activités de conseil et d'expertise", accusent de nombreux universitaires. L'un d'entre eux a même distingué deux types de criminologie, l'une au service de l'Etat, l'autre au service de la Démocratie, démontrant, toutefois sans le nommer, qu'Alain Bauer relevait sans aucun doute du premier type. L'accusé se défend en soulignant que, "comme les avocats, les médecins ou les journalistes, [il] peut à la fois enseigner et travailler dans le secteur privé". Alain Bauer a reçu en 2003 le "Big Brother Award" de l'ONG "Privacy International", un prix qui distingue chaque année les personnalités promouvant la surveillance et le contrôle des individus par l'Etat.
By Anonyme, at 10:40 PM
Bauer agent de la CIA et copain avec les fachos ! Ben voyons, le stalinisme n'est pas mort ... J'ai déjà rencontré Bauer, je trouve que c'est quelqu'un de très bien.
By Emmanuel Mousset, at 10:43 PM
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j' ai déjà rencontré MOUSSET , mais il est toujours aussi naze comme son idole BIGARD !!
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By Anonyme, at 10:47 PM
Il s'agit d'un article paru dans "La République des Lettres" de N Blandin qui, à ma connaissance, n'est ni stalinien , ni de droite.
By Anonyme, at 10:53 PM
Je ne juge pas les individus mais leurs écrits. Quand un propos est stalinien, peu importe son auteur et la revue, le propos est stalinien. Et celui-là l'est, incontestablement.
By Emmanuel Mousset, at 9:35 AM
Votre dernier propos M. Mousset est stalinien, incontestablement.
By Roger, at 12:43 PM
Et pourquoi donc, Roger ?
By Emmanuel Mousset, at 1:46 PM
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toujours son attitude fasciste de mauvais propagandiste à la DEAT , GOBBELS etc..
mais ça il ne comprendra jamais le fil d' un débat !!
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By Anonyme, at 1:52 PM
Pourquoi? pour une raison simple. Parce que vous ne développez aucun argument d'aucune sorte. Vous affirmez et vous dites "je dis que ce propos est stalinien; point final. Circulez, y a rien à voir"
Alors évidemment........
By Anonyme, at 2:20 PM
Je n'aime pas trop me répéter ni réexpliquer ce qui était déjà clair une première fois. Mais rien que pour vous, Roger, je vais le faire : l'accusation d'être agent de la CIA et en cheville avec un fasciste est une tournure classique de l'esprit stalinien. Bauer est sans doute critiquable, mais pas de ça.
Voilà Roger. Maintenant, ne comptez pas sur moi pour en faire un bouquin de 400 pages au cas où vous n'auriez toujours pas compris !
By Emmanuel Mousset, at 4:13 PM
Anonyme a dit...
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j' ai déjà rencontré MOUSSET , mais il est toujours aussi naze comme son idole BIGARD !!
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By Anonyme, at 4:22 PM
**
Vino Vertitas
I.Pastor A.Livernaux
Ah! Ah! Ah! Ah!
Qui a bu boira
Le vin que voilà
Qui a bu boira
Le vin que voilà
Qui vivra verra
Le bon vin Tatfa
Ah! Ah! Ah! Ah!
Qui vivra verra
Ah! Ah! Ah! Ah!
Le bon vin Tafia
Et glou, et glou
Et glou, et glou
Qui dort dînera
A la cloche de bois
Qui dort dînera
A la cloche de bois
Qui dort dormira
Dans la cuve en bois
Ah! Ah! Ah! Ah!
Qui dort dormira
Ah! Ah! Ah! Ah!
Dans la cuve en bois
Et glou et glou
Et glou et glou
Qui rime rimera
Avec gueule de bois
Qui rime rimera
Avec gueule de bois
Qui mange mangera
Avec ses dix doigts
Ah! Ah! Ah! Ah!
Qui mange mangera
Ah! Ah! Ah! Ah!
Avec ses dix doigts
Et glou et glou
Et glou et glou
Qui fait qui fait quoi
En sabot de bois
Qui fait qui fait quoi
En sabot de bois
C'est comme ci comme ça
Que ça finira !
Ah! Ah ! Ah! Ah !
C'est comme ci comme ça
Ah! Ah ! Ah! Ah !
Que ça finira !
Et glou et glou
Et glou et glou
Vino Veritas
Mais ne tombe pas
Vino Veritas
Mais ne tombe pas
Dans l'tonneau d'en face
Ah! Ah ! Ah! Ah !
Ça ne tient qu'à toi !
Ah! Ah! Ah! Ah!
Ça ne tient qu'à toi !
.
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5:04 PM
By Anonyme, at 5:05 PM
Vous seriez à mon avis bien en peine de faire un bouquin de 400 pages sur la question mais peu importe.
A aucun moment il n'est question de dire qu'il serait un "agent " de la CIA ni "en cheville" avec des fascistes.
Je crois que vous êtes dans la théorie du complot, bien connue elle aussi.
Ceci dit le problème c'est la politique sécuritaire, notamment grace à la vidéo-protection,qui ne semble pas donner les résultats escomptés, en particulier à Londres qui est la ville ou il y a le plus de caméras.
Les rapports de la police londonnienne eux mêmes disent que cela peut au mieux améliorer un peu le taux d'élucidation des infractions, délits ou crimes mais pas le fait de les commettre.
Rien ne peut remplacer la police de proximité et surement pas les caméras.
By Anonyme, at 6:54 PM
Le bouquin de 400 pages, c'était une boutade. Mais vous n'avez pas compris, comme le reste. Vous crachez sur Bauer, et puis plus rien maintenant. On baisse son pantalon ? Quand on veut polémiquer et calomnier, il faut avoir le courage d'aller jusqu'au bout et pas se défiler. Le problème, c'est que vous en êtes incapable.
By Emmanuel Mousset, at 8:15 PM
*
du meilleur MOUSSET - DEAT
MOUSSET fils de LE PEN
dans sa propagande !!
le Fascisme déguisé à
SAINT - QUENTIN !!
*
By Anonyme, at 8:35 PM
*
*
*
MOUSSET ajoute à la liste de ses insultes ..
RAPPEL :
les autistes
les IME
les SYNDICALISTES
ET maintenant les pompiers ...
Cela confirme son état d' irresponsabilité totale ... et quand il se compare à F G , c'est du virtuel !!!!!
il y a longtemps qu 'il n'existe plus en politique et comme certain il est exclu par ses propos ..
*
Oubliez vite MOUSSET ...
Ses propos incohérents
Sa méchanceté de barbare inculte et vous allez revenir à la réalité loin des contes de DRACULA ..................
*
4:49 PM
By Anonyme, at 8:38 PM
EM je ne comprends pas votre attitude.
Je fais état d'un article paru dans La République des lettres qui semble mettre en question la politique sécuritaire de Bauer.
Qu'est ce que cela a à voir avec la polémique ou la calomnie.
A-t-on le droit de préférer la police de proximité à la vidéo protection?
Maintenant si vous voulez avoir raison tout seul, continuez, je ne vais surtout pas vous contredire.
By Anonyme, at 9:26 PM
Je défends Bauer, c'est tout. Vous, vous le discréditez, en toute hypocrisie bien entendu. Mais que peut-on attendre d'un anonyme comme vous ? Rien d'autre que ce genre de comportement, à tous égards contre-exemplaire.
By Emmanuel Mousset, at 10:34 PM
M. Mousset, votre dernier propos est irrémédiablement Stalinien !
By Gérard, at 12:52 AM
Gérard,
Ce n'est pas avec des adverbes qu'on arrive à convaincre, ce sont avec des arguments.
By Emmanuel Mousset, at 10:31 AM
*
Ce n'est pas avec des adverbes qu'on arrive à convaincre, ce sont avec des arguments.
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qui qui rédige pas en bon français
se son son se son son ..
ON DIRAIT vraiment du LE PEN et pas le meilleur ..
*
By Anonyme, at 11:21 AM
*
EM FRIMTOUILLE on touille , on touille ...
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By Anonyme, at 11:22 AM
Et vos arguments ou contre-arguments ils sont ou, à part une arrogante et stalinienne dénégation?
By Anonyme, at 1:50 PM
* un peu de culture dans ce monde et ce BLOG de OUF !!!!
recette des Mannele ( petits bonhommes)
traditionnellement, le repas du soir de la St Nicolas, chocolat chaud, du vrai,
mandarines, papillotes et Mannele.
500gr de farine
15cl de lait
2 oeufs
1 sachet levure de boulanger
150gr de beurre mou
80gr de sucre
1 sachet de sucre vanillé
1 jaune d'oeuf pour badigeonner les Mannele
Préparation:
Dans un saladier, mélanger la farine, le sucre, le sucre vanillé, les oeufs, le beurre ,
la levure et le lait tiédi.
Pétrir jusqu'à obtention d'une pâte élastique.
couvrir avec un torchon , laisser la pâte doubler de volume dans un endroit tiède.
Prélever alors des boules de 50gr environ et former des boudins.
Faites une entaille pour les jambes et 2 pour les bras.
passer du jaune d'oeuf
Laisser à nouveau doubler de volume.
puis mettre au four 180° 20à 25 mn.
Belle Saint Nicolas à tous
que de souvenirs
LES FALUCHARDS de la SAINT NIC !!!!
*
4:46 PM
By Anonyme, at 4:48 PM
A 1.50 :
Les arguments sont à 4.13. J'ai prévenu que je ne les répèterai pas.
By Emmanuel Mousset, at 5:17 PM
Vous pouvez effectivement répéter en boucle vos propos de 4.13, Vous rapportez des accusations qui n'ont même pas été évoquées et vous ne démontrez rien.
By Anonyme, at 11:51 PM
Ah bon, pas d'accusations contre Bauer ? Ouf, j'avais cru le contraire. Je me suis donc trompé. Tant mieux, car Bauer est un spécialiste irréprochable. CQFD.
By Emmanuel Mousset, at 10:00 AM
*
*
*
Les partisans
Par le froid et la famine
Dans les villes et dans les champs
A l’appel du grand Lénine (bis)
Se levaient les partisans.
Pour reprendre le rivage
Le dernier rempart des blancs
Par les monts et par les plaines
S’avançaient les partisans. (bis)
Notre paix, c’est leur conquête
Car en mil neuf cent dix-sept
Sous les neig’s et les tempêtes
Ils sauvèrent les Soviets. (bis)
Ecrasant les armées blanches
Et chassant les atamans
Ils finirent leur campagne
Sur les bords de l’Océan. (bis)
*
9:22 PM
9:24 PM
9:25 PM
9:26 PM
By Anonyme, at 9:30 PM
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