Une statue de sel.
Bonjour à toutes et à tous.
A la fin du film de Sergio Leone "Il était une fois en Amérique", le personnage joué par Robert de Niro s'entend dire de ne pas se retourner sur son passé, au risque de se transformer en statue de sel. Il ne suivra pas ce conseil. Il aurait pourtant dû, comme moi hier après midi. Car le passé est maudit. Etait-ce la tempête qui incitait à rester chez soi ? J'ai commencé à dépouiller une quinzaine de cartons remplis d'archives de toute nature, privées, politiques, syndicales, associatives, douze ans de ma vie depuis que j'habite à Saint-Quentin. Il m'en reste autant, chez un ami qui a bien voulu les conserver, que je ne récupère et classe que maintenant.
C'est terrible. Photos, courriers, articles de presse, écrits de toute sorte, qu'est-ce que j'ai pu faire de choses ! C'en est effrayant. Quand tout ça passe devant soi, on ne peut s'empêcher de se demander mélancoliquement : pourquoi tout ça ? Quel sens ? Quels résultats ? Quel aboutissement ? Terrible aussi la puissance de l'oubli : l'impression est amère quand on exhume telle réunion, telle activité, telle rencontre qui m'avaient complètement échappé, qui étaient littéralement mortes avant que je ne les ressuscite hier après-midi. Ce que nous faisons est-il si important puisqu'on ne s'en souvient plus, puisque que c'est comme si cela n'avait jamais existé ?
Et puis, il y a ces visages sur lesquels je n'arrive plus à mettre de noms, ou ces noms sur des visages aujourd'hui disparus, éloignés de la politique, parfois de Saint-Quentin. Là aussi, je me rends compte qu'en dix ans, tout a changé. Qui se souvient par exemple de Martine Bonvicini ? Elle a eu en son temps son importance, sa reconnaissance dans notre petit monde socialiste, sa part de notoriété, son rôle politique. Où est-elle aujourd'hui ? Qui d'ailleurs s'en soucie ? Tout passe, rien ne demeure, c'est le tonneau des Danaïdes. J'ai alors la désagréable conscience que je suis au milieu de mes cartons étalés dans mon salon comme un survivant, presque un fantôme.
Incroyable, je suis tombé sur un document d'environ 200 pages, rédigé de ma main, qui raconte par le menu détail les élections municipales de 2 001 à Saint-Quentin. Je me suis alors souvenu qu'à l'époque l'évocation de cet écrit (j'ai toujours beaucoup aimé écrire) avait créé une petite polémique interne, suscitant la crainte de révélations inopportunes. Quand on voit la suite des événements, on constate à quel point tout cela était dérisoire, insignifiant, à l'image des polémiques qu'ont soulevé un moment la rédaction de ce blog.
Vous me direz peut-être qu'il ne faut s'intéresser qu'au présent ? Comment est-ce possible, quand on voit ce qu'est devenu le présent d'autrefois ? C'est tout de même le scepticisme qui prédomine, et si je n'avais pas la foi politique en moi, le découragement, sûrement même le désespoir. Et je ne peux m'empêcher de penser que le présent d'aujourd'hui subira le même sort ingrat, que la Martine Bonvicini actuelle, qui porte bien sûr un autre nom, sera aussi vite effacée de la mémoire locale que celle que j'ai connue, dont les journaux parlaient et qui n'est désormais plus rien. Je n'ai donc ni cet espoir, ni cette consolation-là.
Cet été, si la disponibilité et l'envie sont là, je publierai peut-être à votre attention le best off de mes archives (il y a quelques clichés étonnants, par exemple la venue de Martine Aubry à Saint-Quentin en 2 010 ou 2 011). Mais le coeur n'y est pas. La leçon de cette consultation est presque bouddhiste : vacuité, impermanence, rien n'est stable, la vie est une ronde incessante d'activités et de rencontres dont on ne voit pas la finalité.
La section socialiste a changé du tout au tout, les enjeux d'hier n'ont plus rien à voir avec ceux d'aujourd'hui, les promesses sont devenues des trahisons, les trahisons se sont transformées en engagements. A voir et à lire tout ça, on a envie d'y mettre le feu et de partir, le plus loin possible. Mais c'est trop tard : je suis devenu une statue de sel et le passé est maudit.
Bon après-midi.
A la fin du film de Sergio Leone "Il était une fois en Amérique", le personnage joué par Robert de Niro s'entend dire de ne pas se retourner sur son passé, au risque de se transformer en statue de sel. Il ne suivra pas ce conseil. Il aurait pourtant dû, comme moi hier après midi. Car le passé est maudit. Etait-ce la tempête qui incitait à rester chez soi ? J'ai commencé à dépouiller une quinzaine de cartons remplis d'archives de toute nature, privées, politiques, syndicales, associatives, douze ans de ma vie depuis que j'habite à Saint-Quentin. Il m'en reste autant, chez un ami qui a bien voulu les conserver, que je ne récupère et classe que maintenant.
C'est terrible. Photos, courriers, articles de presse, écrits de toute sorte, qu'est-ce que j'ai pu faire de choses ! C'en est effrayant. Quand tout ça passe devant soi, on ne peut s'empêcher de se demander mélancoliquement : pourquoi tout ça ? Quel sens ? Quels résultats ? Quel aboutissement ? Terrible aussi la puissance de l'oubli : l'impression est amère quand on exhume telle réunion, telle activité, telle rencontre qui m'avaient complètement échappé, qui étaient littéralement mortes avant que je ne les ressuscite hier après-midi. Ce que nous faisons est-il si important puisqu'on ne s'en souvient plus, puisque que c'est comme si cela n'avait jamais existé ?
Et puis, il y a ces visages sur lesquels je n'arrive plus à mettre de noms, ou ces noms sur des visages aujourd'hui disparus, éloignés de la politique, parfois de Saint-Quentin. Là aussi, je me rends compte qu'en dix ans, tout a changé. Qui se souvient par exemple de Martine Bonvicini ? Elle a eu en son temps son importance, sa reconnaissance dans notre petit monde socialiste, sa part de notoriété, son rôle politique. Où est-elle aujourd'hui ? Qui d'ailleurs s'en soucie ? Tout passe, rien ne demeure, c'est le tonneau des Danaïdes. J'ai alors la désagréable conscience que je suis au milieu de mes cartons étalés dans mon salon comme un survivant, presque un fantôme.
Incroyable, je suis tombé sur un document d'environ 200 pages, rédigé de ma main, qui raconte par le menu détail les élections municipales de 2 001 à Saint-Quentin. Je me suis alors souvenu qu'à l'époque l'évocation de cet écrit (j'ai toujours beaucoup aimé écrire) avait créé une petite polémique interne, suscitant la crainte de révélations inopportunes. Quand on voit la suite des événements, on constate à quel point tout cela était dérisoire, insignifiant, à l'image des polémiques qu'ont soulevé un moment la rédaction de ce blog.
Vous me direz peut-être qu'il ne faut s'intéresser qu'au présent ? Comment est-ce possible, quand on voit ce qu'est devenu le présent d'autrefois ? C'est tout de même le scepticisme qui prédomine, et si je n'avais pas la foi politique en moi, le découragement, sûrement même le désespoir. Et je ne peux m'empêcher de penser que le présent d'aujourd'hui subira le même sort ingrat, que la Martine Bonvicini actuelle, qui porte bien sûr un autre nom, sera aussi vite effacée de la mémoire locale que celle que j'ai connue, dont les journaux parlaient et qui n'est désormais plus rien. Je n'ai donc ni cet espoir, ni cette consolation-là.
Cet été, si la disponibilité et l'envie sont là, je publierai peut-être à votre attention le best off de mes archives (il y a quelques clichés étonnants, par exemple la venue de Martine Aubry à Saint-Quentin en 2 010 ou 2 011). Mais le coeur n'y est pas. La leçon de cette consultation est presque bouddhiste : vacuité, impermanence, rien n'est stable, la vie est une ronde incessante d'activités et de rencontres dont on ne voit pas la finalité.
La section socialiste a changé du tout au tout, les enjeux d'hier n'ont plus rien à voir avec ceux d'aujourd'hui, les promesses sont devenues des trahisons, les trahisons se sont transformées en engagements. A voir et à lire tout ça, on a envie d'y mettre le feu et de partir, le plus loin possible. Mais c'est trop tard : je suis devenu une statue de sel et le passé est maudit.
Bon après-midi.
38 Comments:
*
toujours des noms dans un délire inexpliqué sinon par un ego de NAPOLEON mais avec le costume du clown blanc ....
*
By Anonyme, at 1:36 PM
disons lui merde une bonne fois pour toutes à cet anonyme imbécile;il ne mérite rien de plus
By Anonyme, at 1:52 PM
C'est toute la différence entre vous et moi,
moi, je n'oublie quasiment rien.
Mon passé et mon histoire,
je ne l'oublie pas,
je la porte en moi.
Tout ce que cela m'inspire,
c'est que vous êtes dans une fuite en avant perpétuel que je peux comprendre,
le quotidien vous est insupportable,
ne vous apporte que souffrance et déception,
vous préférez nier qu'il ait existé plutôt que de l'assumer.
Une résilience perpétuelle qui vous aide à supporter et à assumer,
mais comment feriez vous sinon pour vous infliger tout ce que vous vous infligez.
On ne peut pas se fuir soi-même,
on finit toujours par se rattraper.
Ce qui demeure,
c'est ce qui est durable,
construit sur de solides fondations.
Peut être que vous ne vous êtes pas construit politiquement de la bonne façon,
peut être que l'idéologie ne permet pas d'avoir des fondations suffisamment solide à une époque ou l'idéologie d'hier n'est plus forcément celle de demain.
Mais c'est peut être parce qu'il existe quelque chose de plus grand que l'idéologie qui s'appelle la vie.
By grandourscharmant, at 2:06 PM
"C'est toute la différence entre vous et moi,
moi, je n'oublie quasiment rien."
La différence, c'est que vous n'avez pas le même âge. Vous ne faites qu'entamez votre 3eme décennie.
On en reparlera peut-être dans 30 ans.
By Aze, at 2:49 PM
Ma 3e décennie est bien entamé
quand même,
je sais que la vieillesse est un naufrage,
c'est pour cela que j'abuse de l'arrogance de la jeunesse.
Il y a encore quelques années,
je n'aurais pas rajouté le quasiment.
By grandourscharmant, at 2:57 PM
*
ça y est GOC est définitivement atteint du syndrome : je pense à moi , je sui le meilleur et les autres ne comptent que si ils me permettent de paraitre comme étant le messie ... les gars y a déjà LE PEN et qques autres , vous arrivez un peu tard ...
*
By Anonyme, at 3:07 PM
*
la statue d' EM - FRIMTOUILLE est toujours sur la place aux grenouilles ....
*
By Anonyme, at 3:25 PM
Chacun est libre de penser ce qu'il veut,
l'important,
ce n'est pas de penser mais d'être.
By grandourscharmant, at 3:38 PM
*
gaffe GOC le mal se confirme
*
By Anonyme, at 3:49 PM
*
au fait GOC qui pige pas STOCKHOLM , tu fais en permanence la claque de EM - FRIMTOY comme on dit au spectacle et en politique ...
*
pigé s'coup - ci ...
*
pas compliqué avec la méthode CRASH - TEST , EM décortiqué , GOC mis à poil ... pas terrible tout ça ...
*
By Anonyme, at 4:34 PM
Je t'ai dit et expliqué que tu ne comprenais rien
et que tu nous faisais une Mousset en parlant sans savoir et sans comprendre.
A force de multiplier les bugs,
il fallait bien que le crash-test finisse par se crasher.
By grandourscharmant, at 5:20 PM
Ce billet me fait penser à un vieux documentaire, sur un collège du 93...
La chef d'établissement, très volontaire, avait beaucoup travaillé pour ce collège. Quand elle a dû être muté, elle était effondrée : tout ce que j'ai fait va disparaître, ça n'a servi à rien, pensait-elle.
Une collègue lui a répondu (et j'y pense souvent) : Oui, ça a servi à quelque chose. Parce que "ce qui est fait, est fait" : les enfants sauvés par le passé, ont été définitivement sauvés, quel que soit l'avenir du collège.
By Thierry D., at 6:05 PM
*
et ton gloubiboulga qui le comprend .....
*
By Anonyme, at 6:05 PM
Thierry,
Je ne me poserais jamais cette question (à quoi sert de faire ce qu'on fait ?) dans ma vie professionnelle, où je suis capable de repérer des progrès et de mesurer l'utilité de ce que je fais. Mais en quinze ans de vie politique active, non !
By Emmanuel Mousset, at 7:13 PM
Arrête ce discours de déprime ! Emmanuel, tu n'es pas plus une statue de sel que tu n'es cette autre statue du commandeur des croyants à Saint-Quentin.
Tu as l'atout d'une longue fidélité qui n'est pas si commune. Le jour où ils seront tous Strauss-Kahniens parcequ'il aura emporté le morceau (attention je ne dis pas que c'est le plus probable ni le plus désirable mais juste que ça peut arriver) la classe politique axonaise qui te traite comme un "idiot utile" sera bien obligée de te faire une petite place, les longues fidèlités ne sont pas si courantes.
Tu aurais un sérieux besoin de sortir du ressassement purement idéologique et d'un peu de grand air. Je ne sais pas moi, mais d'aller traîner un peu dans les zones de jardins ouvriers autour de la ville de causer avec ceux qui s'y activent (ils sont facilement causants), de t'intersser au canaux, aux pêcheurs à la ligne, à l'urbanisme, aux gens qui sont à Emmaüs ou à ATD quart monde, fait un bout de chemin avec ceux qui défendent les sans papier pas seulement en signant des pétitions, va aux comptoirs des bistrots, prends les TER ou les bus et essaie de parler avec tes voisins... je ne sais pas interesse toi un peu à la vraie vie car le face à face avec tes élèves ou tes comparses sur ce blog ce n'est pas tout à fait la vraie vie...
Personne ne change la vie à coup de baguettes magiques, ou alors ça vire vite au truc totalitaire ou policier. La vie ne progresse que par petites avancées avec des des aller-retours, la modestie du droit à l'erreur. Mais rien n'arrive que l'illusion sans s'immerger dans le concret de l'expérimentation sociale
By Thyl, at 9:54 PM
Je n'ai pas l'impression de me désintéresser de la vraie vie.
By Emmanuel Mousset, at 10:29 PM
Thyl,
le jour où la classe politique de gauche deviendra strauss khaniens,
ils feront disparaitre EM
preuve de leur erreur.
Si sa vérité devient la vérité,
il sera exécuté,
car c'est le sort qu'on réserve au 1er qui dit la vérité.
By grandourscharmant, at 10:31 PM
Sur le fait de sortir de rencontrer des gens,
de partager un moment avec eux,
je suis totalement d'accord.
Depuis que je l'embête sur ce blog,
c'est ce que je lui dis,
de changer ses habitudes,
de faire autre chose que ce qu'il fait habituellement,
de faire ce qu'il ne ferait pas naturellement,
ce serait un plus grand enrichissement pour lui.
Mais, il est têtu, il a peur de l'inconnue et de ce qui pourrait arriver.
By grandourscharmant, at 10:34 PM
*
on lui a déjà donné des pistes mais le concret ne l' intéresse pas ; son blog est un labo pour lui ::: point barre ....
*
By Anonyme, at 10:51 PM
Ils veulent que je sorte alors que je sors déjà beaucoup. J'ai compris la manoeuvre : m'éloigner de ce blog afin de les épargner.
By Emmanuel Mousset, at 8:51 AM
c'est rédhibitoire chez EM: il est dans L'INCAPACITE TOTALE d'enlever son costard de prof et partout où il passe il ne peut s'empêcher ,soit de donner des leçons,soit dans ses propos de faire sentir à l'autre que lui seul,Emmanuel Mousset, SAIT;il ne fait aucun doute qu'il possède une culture étendue ( pour un prof' de philo le contraire serait bizarre) mais s'il pouvait de temps en temps "faire plus modeste" il serait certainement ,non seulement écouté , mais- et c'est le sens du militantisme politique- compris et efficace dans la diffusion de ses idées
C'est le conseil d'un vieux militant de gauche mais je ne crois pas beaucoup qu'il en tienne compte
By Militant de gauche, at 9:06 AM
*
NON culture restreinte : BOXE
rien sur la musique
rien sur l'Art déco
rien sur la peinture ...
C'est pas un caïd , juste un blablateur .....
*
By Anonyme, at 9:25 AM
Militant de gauche,
Je ne partage que les derniers mots de votre commentaire. Mais c'est mon droit, n'est-ce pas ? Je n'ai aucune obligation à être d'accord avec vos propos, pas plus que vous avec les miens. Et je vous explique pourquoi :
1- Il n'y a pas de privilège de l'âge. L'ancienneté est une vertu réactionnaire (mais la jeunesse n'est pas non plus une excuse).
2- Vous vous faites des enseignants une image péjorative, qui étonne de la part de quelqu'un qui se prétend de gauche, parce qu'on la trouve plutôt dans les discours de droite.
3- La modestie ne m'intéresse pas, mais seulement la vérité. Quant aux militants politiques, ce qui les guide, c'est l'ambition, pour eux-mêmes, pour leurs idées, pour leur Parti.
Voilà en quoi nous ne sommes pas d'accord. Mais est-ce si grave ? L'essentiel n'est pas tellement dans ce que je suis que dans ce que je dis. Oubliez la forme, retenez le fond.
By Emmanuel Mousset, at 10:27 AM
les réponses sont assez" confuses":
- le privilège de l'âge? je n'en ai pas fait état sinon pour rappler que j'avais un passé de militant c'est tout
- image péjorative des profs? je ne m'adressais qu'à vous pas au corps enseignant dont je suis issu
- la modestie: on ne gagne rien à asséner en permamence qu'on détient la vérité;ça finit même par agacer et se retourner contre soi
eh oui chez vous c'est la forme qui n'est pas en adéquation avec les idées et c'est bien dommage
By Anonyme, at 9:06 AM
*
à 9 06
nous avons à faire à un bloguiste qui fait de la surenchére ... pour de la surenchére .... c' est souvent la frime - touille et pas la raison qui guide sa pensée ... comme ce projet pharaonique de 3° aéroport .... plus c' est gros ; plus ça lui plait , si il savait la somme de travail qu'il faut pour un petit projet et pour pas se louper ... il serait paralysé par la technique .....
BON COURAGE si vous pouvez lui faire comprendre ...
*
By Anonyme, at 9:26 AM
A 9.06 :
C'est votre esprit qui est confus. Vous attaquez et vous n'assumez pas. Courage mon ami !
By Emmanuel Mousset, at 11:42 AM
à EM
tout est résumé dans votre réponse; vous ne savez pas dialoguer et vous prenez pour agression toute remarque qui ne vous sied pas, une attitude puérile qu'ont notée ceux qui ont eu l'occasion de vous croiser: vous vous comportez bien souvent en gamin qui tape du pied quand on n'est pas d'accord avec lui
By militant de gauche, at 1:54 PM
C'est bien d'être un gamin, surtout quand on croise un vieux schnock.
By Emmanuel Mousset, at 2:12 PM
*
Mousset rechute , son insultite aiguë se rajoute à sa sénilité précoce ; elle même encore mélée à un infantilisme pas guéri mais chronique ...
*
oui il ressemble assez bien à HAUTBRIE qui sur les genoux de son papa ( jack dehors ) manifestait sa colére en souillant les protections que recommande Mme BADINTER pour libérer les femmes ; peut - être TITINE a t elle inspiré cette affaire
enfin avec TITINE et EM-FRIMTOUILLE le jardin d'enfant du PS se peuple etit à petit ..
*
By Anonyme, at 4:11 PM
vieux schnock peut-être mais je suis rassuré car vous vous forgez le parfait profil pour me succéder le moment venu:en fait vous être déjà un pré- vieux schnok et vous êtes particulièrement précoce dans cette fonction,bravo, bel avenir..à défaut d'un avenir d'élu politique que vous n'atteindrez jamais
By Anonyme, at 8:35 AM
*
MOUSSET c'est un Alzheimer très particulier , quand il traite une question , il oublie TOUT le reste ... pour arranger son trip ...
Comme dit l'ancien c'est la maladie du pré- vieux schnok ; plus simplement on appelle ça un CLOWN ...
*
By Anonyme, at 8:54 AM
A 8.35 :
Je n'ai jamais rêvé d'un avenir d'élu politique. Sinon je m'y prendrais autrement. Je n'ai pas des rêves de vieux schnock.
By Emmanuel Mousset, at 2:01 PM
*
ça y est il est encore déjanté !!
PAUV TI MOUSSE
*
By Anonyme, at 3:34 PM
Et tu ferais comment ?
Tu es incapable de faire autrement.
By Anonyme, at 4:59 PM
C'est vrai que je suis incapable de faire autrement. C'est sans doute une question de culture personnelle, d'éducation. C'est pourquoi je n'ai jamais fait ce rêve.
By Emmanuel Mousset, at 1:05 PM
*
tout mou , tout déjanté à la veille de la plus belle victoire de sa vie ...
mais que fait AUBRIC à BRAC , EM - FRIMTOUILLE à SOLFERINO ; la rénovation rénovante elle même en rénovation ... une sotre de révolution culturelle perpétuelle ...
PAUV TI MOUSSSSSSSSSSSSS
*
By Anonyme, at 1:16 PM
*
Qu’est-ce qui peut faire remonter le FN?
. Ainsi, dans le Nord-Pas-de-Calais, «la situation économique et sociale et l'obsolescence des appareils politiques, y compris à gauche», pourrait bénéficier à Marine Le Pen, précise Jean-Yves Camus, politologue et chercheur associé à l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS).
*
By Anonyme, at 8:31 AM
*
*
*
**
Vino Vertitas
I.Pastor A.Livernaux
Ah! Ah! Ah! Ah!
Qui a bu boira
Le vin que voilà
Qui a bu boira
Le vin que voilà
Qui vivra verra
Le bon vin Tatfa
Ah! Ah! Ah! Ah!
Qui vivra verra
Ah! Ah! Ah! Ah!
Le bon vin Tafia
Et glou, et glou
Et glou, et glou
Qui dort dînera
A la cloche de bois
Qui dort dînera
A la cloche de bois
Qui dort dormira
Dans la cuve en bois
Ah! Ah! Ah! Ah!
Qui dort dormira
Ah! Ah! Ah! Ah!
Dans la cuve en bois
Et glou et glou
Et glou et glou
Qui rime rimera
Avec gueule de bois
Qui rime rimera
Avec gueule de bois
Qui mange mangera
Avec ses dix doigts
Ah! Ah! Ah! Ah!
Qui mange mangera
Ah! Ah! Ah! Ah!
Avec ses dix doigts
Et glou et glou
Et glou et glou
Qui fait qui fait quoi
En sabot de bois
Qui fait qui fait quoi
En sabot de bois
C'est comme ci comme ça
Que ça finira !
Ah! Ah ! Ah! Ah !
C'est comme ci comme ça
Ah! Ah ! Ah! Ah !
Que ça finira !
Et glou et glou
Et glou et glou
Vino Veritas
Mais ne tombe pas
Vino Veritas
Mais ne tombe pas
Dans l'tonneau d'en face
Ah! Ah ! Ah! Ah !
Ça ne tient qu'à toi !
Ah! Ah! Ah! Ah!
Ça ne tient qu'à toi !
.
*
5:04 PM
5:05 PM
5:07 PM
5:10 PM
By Anonyme, at 5:11 PM
Enregistrer un commentaire
<< Home