Un incident déplorable.
Bonsoir à toutes et à tous.
Je suis surpris de constater que la presse locale de ce matin accorde une grande place à un fait mineur intervenu samedi sur le marché du centre-ville, auquel j'ai assisté : l'intervention de la Police pour prise d'identité de certains militants distribuant des tracts. Je déplore cet incident et l'image qu'il donne du Parti socialiste. Alors que la droite offre souvent un visage avenant et respectable, la gauche passe pour délictueuse, soumise à un contrôle de police ! J'ai été quatre ans secrétaire de section, j'ai régulièrement distribué sur les trois marchés de la ville et ailleurs, c'est la première fois que je vois ça, et c'est navrant.
Soyons clairs : nous n'avons pas le droit de distribuer à l'intérieur du périmètre du marché. Le problème réside ensuite dans la définition de ce périmètre. Quand on est devant la Maison de la Presse, sommes-nous à la limite ou dans le marché ? Pour moi, nous sommes à la frontière et pas à l'intérieur. Mais cela se discute, je le conçois parfaitement. Quoi qu'il en soit, une certaine tolérance a longtemps existé, qui ne semble plus de mise aujourd'hui.
Quand j'étais chargé des distributions, la consigne était aussi claire que le règlement : pas de bisbille avec la Police, à l'approche d'un agent on cesse de tracter, puis on reprend à son départ. Si on nous demande de partir, pas d'éclat : on s'en va. Ça ne m'est jamais arrivé, la discrétion a prévalu et les tractages se sont poursuivis sans incident. Pas question de se la jouer gauchiste avec un bad trip style Etat policier, flic partout justice nulle part. Un parti de gouvernement comme le mien a suffisamment de maturité politique pour ne pas tomber dans ce genre de gaminerie.
D'autant que la Police, dans ce genre de circonstances, intervient rarement de sa propre initiative mais à la demande d'un commerçant. J'ai été confronté, il y a quelques années, non loin de la Maison de la Presse, à un marchand de chaussettes particulièrement virulent, qui me reprochait de lui faire perdre des clients. Je lui ai calmement expliqué qu'il n'en était rien, qu'au contraire ma présence attirait du monde devant son stand et pouvait éventuellement augmenter ses ventes. Je ne suis tout de même allé jusqu'à lui demander un pourcentage sur la recette ! Trêve de plaisanterie, quand mon argument ne prenait pas, je m'écartais de quelques mètres, sans insister.
En la matière, il faut être extrêmement prudent. Samedi matin, nous étions vraiment nombreux à distribuer, droite et gauche confondues, avec une arrivée en fanfare des fachos du Parti de la France, qui n'a rien arrangé. D'expérience, je dis qu'il faut faire très attention : nos concitoyens n'aiment pas trop être interpellés quand ils font leurs courses ou déambulent tranquillement ; ils prennent, à tort, la main qui tend un tract comme une agression.
Ce qui la fiche également mal, c'est l'hyper-présence en période seulement électorale, puis des interventions très intermittentes le reste du temps (il n'y a que Lutte Ouvrière qui soit très régulière dans sa présence sur le marché). C'est pourquoi je conseille un tractage cool, sans ostentation, plus sous forme de contact et de dialogue avec nos sympathisants connus qu'une diffusion de messages aux passants anonymes.
Bonne fin d'après-midi.
Je suis surpris de constater que la presse locale de ce matin accorde une grande place à un fait mineur intervenu samedi sur le marché du centre-ville, auquel j'ai assisté : l'intervention de la Police pour prise d'identité de certains militants distribuant des tracts. Je déplore cet incident et l'image qu'il donne du Parti socialiste. Alors que la droite offre souvent un visage avenant et respectable, la gauche passe pour délictueuse, soumise à un contrôle de police ! J'ai été quatre ans secrétaire de section, j'ai régulièrement distribué sur les trois marchés de la ville et ailleurs, c'est la première fois que je vois ça, et c'est navrant.
Soyons clairs : nous n'avons pas le droit de distribuer à l'intérieur du périmètre du marché. Le problème réside ensuite dans la définition de ce périmètre. Quand on est devant la Maison de la Presse, sommes-nous à la limite ou dans le marché ? Pour moi, nous sommes à la frontière et pas à l'intérieur. Mais cela se discute, je le conçois parfaitement. Quoi qu'il en soit, une certaine tolérance a longtemps existé, qui ne semble plus de mise aujourd'hui.
Quand j'étais chargé des distributions, la consigne était aussi claire que le règlement : pas de bisbille avec la Police, à l'approche d'un agent on cesse de tracter, puis on reprend à son départ. Si on nous demande de partir, pas d'éclat : on s'en va. Ça ne m'est jamais arrivé, la discrétion a prévalu et les tractages se sont poursuivis sans incident. Pas question de se la jouer gauchiste avec un bad trip style Etat policier, flic partout justice nulle part. Un parti de gouvernement comme le mien a suffisamment de maturité politique pour ne pas tomber dans ce genre de gaminerie.
D'autant que la Police, dans ce genre de circonstances, intervient rarement de sa propre initiative mais à la demande d'un commerçant. J'ai été confronté, il y a quelques années, non loin de la Maison de la Presse, à un marchand de chaussettes particulièrement virulent, qui me reprochait de lui faire perdre des clients. Je lui ai calmement expliqué qu'il n'en était rien, qu'au contraire ma présence attirait du monde devant son stand et pouvait éventuellement augmenter ses ventes. Je ne suis tout de même allé jusqu'à lui demander un pourcentage sur la recette ! Trêve de plaisanterie, quand mon argument ne prenait pas, je m'écartais de quelques mètres, sans insister.
En la matière, il faut être extrêmement prudent. Samedi matin, nous étions vraiment nombreux à distribuer, droite et gauche confondues, avec une arrivée en fanfare des fachos du Parti de la France, qui n'a rien arrangé. D'expérience, je dis qu'il faut faire très attention : nos concitoyens n'aiment pas trop être interpellés quand ils font leurs courses ou déambulent tranquillement ; ils prennent, à tort, la main qui tend un tract comme une agression.
Ce qui la fiche également mal, c'est l'hyper-présence en période seulement électorale, puis des interventions très intermittentes le reste du temps (il n'y a que Lutte Ouvrière qui soit très régulière dans sa présence sur le marché). C'est pourquoi je conseille un tractage cool, sans ostentation, plus sous forme de contact et de dialogue avec nos sympathisants connus qu'une diffusion de messages aux passants anonymes.
Bonne fin d'après-midi.
19 Comments:
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et le programme de GEWERC tjrs ps sur INTERNET ??
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By Anonyme, at 7:14 PM
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eh Robokop elles servent à quoi tes caméras ... faut rentabiliser .. TOTOTT il va te faire un bel article avec vue sur le marché ... commun ..
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By Anonyme, at 7:28 PM
Peut-être sur le site du candidat..
By Arthur Nouaillat, at 11:05 PM
le voici le programme:
Projet_def_version_BD-2.pdf
A votre service!!
By Unknown, at 11:50 PM
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01 mars 2010
Aubry organise un happening féministe contre Frêche
Lundi 8 mars, la direction du Parti socialiste fera d’une pierre deux coups. Elle célèbrera la Journée de la femme et en fera une journée anti-Frêche. Martine Aubry a finalement choisi cette date pour se rendre à Montpellier afin de soutenir Hélène Mandroux. La première secrétaire ne sera pas seule. L’accompagnera un aréopage de grandes figures féminines du PS : Elisabeth Guigou, Marylise Lebranchu, Adeline Hazan et Aurélie Filippetti, notamment, sont annoncées. En tout, la délégation devrait compter une quinzaine de « pétroleuses » comme dit en souriant l’une des participantes. Point de meeting à l’horizon mais une conférence de presse suivie d’une réunion sen compagnie de femmes de la région ayant décidé de soutenir la maire de Montpellier ». En début d’après-midi chacune repartira vers ses terres, Martine Aubry ayant aussi tenu à participer aux réjouissances liées à la journée de la femme organisées à Lille.
Choisir le féminisme comme angle de tir contre Georges Frêche ; a priori, le positionnement ne manque pas d’habileté. Les « pétroleuses » socialistes venues défier le beauf’ divers-gauche ; l’effet de contraste est tentant. Les mauvaises langues diront que l’argument portera davantage hors Languedoc-Roussillon qu’au sein de la sphère d’influence de Georges Frêche. Et ajouteront, que c’est bien l’effet escompté. En tout cas, les organisateurs-organisatrices de ce happening anti-Frêche découvriront avec intérêt le dernier entretien accordé par le président du conseil régional de Languedoc-Roussillon, paru dans la livraison de Voici datée du 27 février. Toujours aussi « bon client » pour les médias, Frêche joue sa partition habituelle. Morceaux choisis : « je suis fils unique, c’est pourquoi j’ai besoin d’amour. J’ai été élevé par des femmes (…) : j’aurais du devenir soit homosexuel, soit macho. Je suis devenu macho ». « En m’attaquant, Martine Aubry m’a transformée en icône (…). Elle m’a donnée une aura nationale dont je n’aurais jamais osé rêver (…). Même si elle va tenter encore un coup fourré, je vais me charger de sa réputation après les régionales ». Conclusion de cet entretien : « en fait, le seul regret de ma vie est de chanter faux. Sinon, j’aurais fait carrière dans le lyrique ou dans l’opérette ».
Sur le terrain, les choses sont moins folkloriques et plus tendues. Les anti-Frêche se plaignent de recevoir des mails nominatifs injurieux et dénoncent le chantage aux subventions exercé à l’encontre de responsables associatifs, contraints de signer des appels publics en faveur du président sortant. Maigre consolation ; un sondage paru la semaine passée accorde 9% à Hélène Mandroux contre 6% la semaine précédente. Dans les rangs Frêchistes, on se compare aux hérétiques Albigeois et l’on dénonce « l’épuration » menée par la rue de Solferino. Chacun des 59 candidats présents sur les listes pro-Frêche a reçu un courte missive lui rappelant l’article 11.19 des statuts du PS concernant « les membres du parti candidats à un poste électif pour lequel les instances du parti ont investi un autre candidat ». « Tu as pris la responsabilité de t’exclure toi-même du Parti socialiste. Tu ne peux donc plus t’en prévaloir, ni utiliser ses logos ou emblèmes » conclut la lettre qui prie le camarade de croire « en l’expression des sentiments distingués » des trois signataires. Qui sont Christophe Borgel, secrétaire national aux élections, Pascale Boistard, secrétaire nationale à l’organisation et Alain Fontanel, secrétaire national à l’animation et au développement des fédérations.
Jean-Michel Normand
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By Anonyme, at 12:27 AM
Merci Kévin.
By Emmanuel Mousset, at 8:49 AM
le 8 mars, je verrais bien ségolène et frèche main dans la main, sur le thème " Les féministes tendent la main aux hommes; non aux trucages électoraux ". Qui aurait l'air catholique ?
By Anonyme, at 8:54 AM
Comment les partis politiques perdent-ils encore leur temps et leur argent à distribuer des tracts? Peuvent-ils croire un seul instant que leur bout de papier, négligé,dédaigné, jeté, puisse leur rapporter l'ombre d'un suffrage? Quel gâchis!
By Lormont, at 9:20 AM
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bravo LORMONT
il y a deux catégories d' enseignants les modernes et les ringards qui croient encore au pére NOEL , non au pére LE PEN et à sa fille qui sont à 17 % dans le NORD !!
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By Anonyme, at 9:22 AM
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02 mars 2010
Tempête, Frêche ... : la culture du bouc-émissaire
Les Français s'adonnent avec délectation à la culture du bouc-émissaire qui dispense de poser les vraies questions et donc d'avoir le courage d'aller vers les vraies réponses.
La tempête et son cortège de drames individuels pose la question des droits à construire. Des élus locaux sont immédiatement montrés du doigt. Mais, les Maires ne délivreraient pas des droits à construire si des citoyens propriétaires ne faisaient pas naître une telle pression qui parfois fait basculer les majorités municipales.
Dans toutes les petites Communes de moins de 15 000 habitants, la qualité de citoyen s'efface souvent devant celle de propriétaire foncier. Chacun connait cette réalité. Le véritable responsable c'est d'abord le citoyen qui refuse de voir certaines réalités technique pour ne concevoir un terrain que comme un potentiel jackpot. Il abandonne alors son statut de citoyen pour voter pour le premier candidat qui s'engage à urbaniser son terrain et lui faire réaliser une fantastique plus-value. Voilà la réalité.
Dans une démocratie, l'opinion a les élus qu'elle veut donc les élus qu'elle mérite. Si les citoyens souhaitent des élus qui ne résistent pas à la demande déraisonnable de citoyens, ils ont des profils de ce type avec les conséquences qui peuvent en résulter. "Paulo l'arrangeur" avec qui on aime trinquer en tapant sur l'épaule au coin du bistrot, c'est très souvent devenu le cursus de l'élu local. On va pas demander à "Paulo" de défendre la technicité puisque "Paulo" est choisi parce que c'est un "pote" et pas un technicien. Il faut ensuite que les citoyens assument leur choix de "Paulo" ...
De même, il est question actuellement de Frêche qui serait une caricature exceptionnelle de la démocratie locale. Mais il y a en France des "Frêche" dans de très nombreux couloirs de collectivités publiques locales. Frêche, c'est le produit du goût de "l'homme providentiel" + de la faiblesse de la culture du contre-pouvoir + du clientélisme lié au statut d'employeur et de financier des collectivités locales et le tout avec le retrait quasi-total de l'Etat. Frêche, c'est la caricature de tous les maux de la décentralisation de 1982. Là encore, il est plus facile de ne parler que de Frêche, cela dispense de s'attaquer aux maux de la décentralisation de 1982.
La généralisation de cette culture du bouc-émissaire épargne d'étudier les questions de fond. Le bouc-émissaire incarne le mal. Il porte tous les pêchés de la terre. Il dispense de l'éthique du doute. Il dispense surtout du courage de chercher la vérité.
Le bouc-émissaire est là pour que la réalité s'efface devant l'illusion. Bien davantage, que l'illusion devienne réalité. C'est la thérapie collective qui est désormais appliquée sans remord ni pudeur.
Mais cette thérapie fait disparaître la lucidité et par conséquent elle ne règle rien.
S'il y a une composante durable des dernières décennies, c'est que rien n'est sérieusement réglé. Progressivement, même avec les meilleures bonnes volontés des individus, rien ne fonctionne avec efficacité. Le bouc-émissaire permet que l'infirme s'ignore avant que des réveils ponctuels ne le ramène à la réalité. Frêche et la tempête allongent la liste des exemples où l'examen compliqué de la vérité s'incline devant le réflexe immédiat de l'approbation : c'est la faute à ...
Pendant encore combien de temps ?
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By Anonyme, at 9:50 AM
Lormont,
Ce que vous dites n'est pas faux. Mais les hommes politiques se doivent aussi d'être présents sur le terrain, et un marché est une excellente occasion de rencontres et de discussions.
By Emmanuel Mousset, at 10:15 AM
A 9.50 :
Très bon article, avec lequel je suis entièrement d'accord, et que je vous remercie d'avoir porté à notre connaissance. Mais ce serait encore mieux si vous donniez les références précises.
By Emmanuel Mousset, at 10:19 AM
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pour le 9 50 qui n' est autre que A3 alias Veilleur du VIMEU et BILOUTE de la SAUVAGINE ...
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By Anonyme, at 10:53 AM
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quand on sait utiliser la puissance d' un moteur de recherche ...
Tempête, Frêche ... : la culture du bouc-émissaire - Denis Bonzy2 mars 2010 ... Tempête, Frêche ... : la culture du bouc-émissaire. Les Français s'adonnent avec délectation à la cuture du bouc-émissaire qui dispense de ...
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By Anonyme, at 10:55 AM
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nouvelles FRECHE *
Frêche: Fabius est un "faux jeton"
AFP
02/03/2010 | Mise à jour : 16:09 Réactions (4)
Dans un entretien à l'hebdomadaire Voici, actuellement en kiosque,Georges Frêche déclare: "Fabius, je ne l'ai jamais aimé, il a toujours été un faux jeton. J'ai brisé sa carrière au PS lors du congrès de Rennes, il y a 25 ans (NDLR: le congrès de Rennes s'est tenu en fait en 1990). C'est pour ça qu'il me cherche toujours".
Il attaque également la première secrétaire du Parti socialiste Martine Aubry: "Elle veut se faire une stature de vierge morale, alors qu'elle est rigide". Pour lui, Martine Aubry "a une image pas mauvaise, car les gens ne la connaissent pas. En réalité, elle s'en prend à moi car elle a promis deux ou trois régions aux Verts pour en échange, asseoir sa candidature à la présidence de la République".
"Mais, même si elle va tenter encore un coup fourré, je vais me charger de sa réputation après les régionales", menace-t-il.
"En m’attaquant, Martine Aubry m’a transformée en icône. Elle m’a donné une aura nationale dont je n’aurais jamais osé rêver", juge-t-il avant d'estimer avoir "une tronche de vedette de télé" et d'assurer qu'avec "l'agitation médiatique", il est "un peu comme Brad Pitt".
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By Anonyme, at 4:42 PM
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AUBRY cafouille , conscient ou inconscient ...
<< Aubry s’emmêle dans ses candidates
Interrogée en marge de l’interview de Jean-Jacques Bourdin, ce mercredi matin, sur RMC, la première secrétaire du PS a cafouillé sur le nombre de femmes qui conduisent les listes socialistes aux régionales.
«Une seule malheureusement»,
commence-t-elle par répondre.
Avant de recalculer rapidement:
«Ah non, deux femmes pardon»...
«Non mais il y en a trois:
Je recommence», rit-elle,
concluant: «c’est insuffisant mais c’est déjà un progrès.» Il s’agit de Marie-Guite Dufay en Franche-Comté, d’Hélène Mandroux en Languedoc-Roussillon et de Ségolène Royal en Poitou-Charentes. La vidéo ne dit pas si c’est cette dernière qui fut, dans un premier temps, oubliée par Aubry.
DONC Mandroux et SEGO du vent ..
QUE DE PERTE DE MEMOIRE
Le GRAND STADE ET LA CITADELLE
LE DEPART EN RETRAITE à ??
ET maintenant les candidates ...
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By Anonyme, at 5:25 PM
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aux AUBRYS gaffe MOUSSSSS arrive !!!!!!!
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By Anonyme, at 1:04 PM
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Qu’est-ce qui peut faire remonter le FN?
. Ainsi, dans le Nord-Pas-de-Calais, «la situation économique et sociale et l'obsolescence des appareils politiques, y compris à gauche», pourrait bénéficier à Marine Le Pen, précise Jean-Yves Camus, politologue et chercheur associé à l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS).
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By Anonyme, at 8:29 AM
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Vino Vertitas
I.Pastor A.Livernaux
Ah! Ah! Ah! Ah!
Qui a bu boira
Le vin que voilà
Qui a bu boira
Le vin que voilà
Qui vivra verra
Le bon vin Tatfa
Ah! Ah! Ah! Ah!
Qui vivra verra
Ah! Ah! Ah! Ah!
Le bon vin Tafia
Et glou, et glou
Et glou, et glou
Qui dort dînera
A la cloche de bois
Qui dort dînera
A la cloche de bois
Qui dort dormira
Dans la cuve en bois
Ah! Ah! Ah! Ah!
Qui dort dormira
Ah! Ah! Ah! Ah!
Dans la cuve en bois
Et glou et glou
Et glou et glou
Qui rime rimera
Avec gueule de bois
Qui rime rimera
Avec gueule de bois
Qui mange mangera
Avec ses dix doigts
Ah! Ah! Ah! Ah!
Qui mange mangera
Ah! Ah! Ah! Ah!
Avec ses dix doigts
Et glou et glou
Et glou et glou
Qui fait qui fait quoi
En sabot de bois
Qui fait qui fait quoi
En sabot de bois
C'est comme ci comme ça
Que ça finira !
Ah! Ah ! Ah! Ah !
C'est comme ci comme ça
Ah! Ah ! Ah! Ah !
Que ça finira !
Et glou et glou
Et glou et glou
Vino Veritas
Mais ne tombe pas
Vino Veritas
Mais ne tombe pas
Dans l'tonneau d'en face
Ah! Ah ! Ah! Ah !
Ça ne tient qu'à toi !
Ah! Ah! Ah! Ah!
Ça ne tient qu'à toi !
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5:04 PM
5:05 PM
5:07 PM
By Anonyme, at 5:10 PM
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