Retour de Paris.
Bonsoir à toutes et à tous.
J'ai le bourdon. Mon retour à Saint-Quentin, probablement. Pourtant, je me suis absenté à peine 48 heures. Mais les rues vides, la pluie, le ciel gris, tout ça me fait penser à un dimanche soir... alors qu'on est jeudi. Et puis, en poussant ma porte, je suis tombé sur la notification d'un recommandé: Le résultat de la commission des conflits, c'est sûr. A Paris, hier, L'Aisne Nouvelle m'a appelé, voulant savoir. Je saurai demain matin, à la Poste. Pour la presse, mon exclusion, ce serai pain béni. Mais je les ai prévenus: c'est un non événement qui se prépare, je n'aurai qu'une remontrance, pour la forme, et mes plaignants se retrouveront le bec dans l'eau.
A moins que je me trompe, ce qui n'est jamais complètement exclu. Les camarades qui m'ont pris pour adversaire ne sont pas très finement politiques. Leur démarche va leur revenir en pleine figure. C'est déjà un aveu de faiblesse de passer par une telle procédure. De la faiblesse à l'échec, voilà la trajectoire que je prédis. Rendez-vous demain matin pour savoir si mon analyse est confirmée ou désavouée.
J'ai le bourdon parce qu'à Paris j'ai vécu de merveilleux moments d'intelligence avec mes camarades laïques. Quel contraste avec ma réunion de mardi soir, passablement merdique, pourrie par le narcissisme stupide d'une méchante vieille dame. Mais les choses sont ainsi. Si elles étaient simples, cela se saurait. Elles ne le sont pas, et c'est à moi, avec mes camarades de même sensibilité, de faire mentir le destin, d'inventer un autre avenir pour Saint-Quentin. Je crois que c'est possible, si nous sommes déterminés. Je le suis.
Tiens, c'est bizarre, je n'ai plus le bourdon. Il m'a suffi de vous parler, de remettre les choses au clair, de rappeler la perspective qui est la mienne. Formidable, non? Ce blog sert peut-être à ça, me redire à moi-même le sens de mon combat, mais publiquement, devant vous. C'est une sorte d'engagement, la garantie que je ne lâcherai pas, que ceux qui croient en moi peuvent compter sur moi. Je le dis sans forfanterie: je ne les décevrai pas dans les prochains mois et les prochaines années.
Bonne soirée.
J'ai le bourdon. Mon retour à Saint-Quentin, probablement. Pourtant, je me suis absenté à peine 48 heures. Mais les rues vides, la pluie, le ciel gris, tout ça me fait penser à un dimanche soir... alors qu'on est jeudi. Et puis, en poussant ma porte, je suis tombé sur la notification d'un recommandé: Le résultat de la commission des conflits, c'est sûr. A Paris, hier, L'Aisne Nouvelle m'a appelé, voulant savoir. Je saurai demain matin, à la Poste. Pour la presse, mon exclusion, ce serai pain béni. Mais je les ai prévenus: c'est un non événement qui se prépare, je n'aurai qu'une remontrance, pour la forme, et mes plaignants se retrouveront le bec dans l'eau.
A moins que je me trompe, ce qui n'est jamais complètement exclu. Les camarades qui m'ont pris pour adversaire ne sont pas très finement politiques. Leur démarche va leur revenir en pleine figure. C'est déjà un aveu de faiblesse de passer par une telle procédure. De la faiblesse à l'échec, voilà la trajectoire que je prédis. Rendez-vous demain matin pour savoir si mon analyse est confirmée ou désavouée.
J'ai le bourdon parce qu'à Paris j'ai vécu de merveilleux moments d'intelligence avec mes camarades laïques. Quel contraste avec ma réunion de mardi soir, passablement merdique, pourrie par le narcissisme stupide d'une méchante vieille dame. Mais les choses sont ainsi. Si elles étaient simples, cela se saurait. Elles ne le sont pas, et c'est à moi, avec mes camarades de même sensibilité, de faire mentir le destin, d'inventer un autre avenir pour Saint-Quentin. Je crois que c'est possible, si nous sommes déterminés. Je le suis.
Tiens, c'est bizarre, je n'ai plus le bourdon. Il m'a suffi de vous parler, de remettre les choses au clair, de rappeler la perspective qui est la mienne. Formidable, non? Ce blog sert peut-être à ça, me redire à moi-même le sens de mon combat, mais publiquement, devant vous. C'est une sorte d'engagement, la garantie que je ne lâcherai pas, que ceux qui croient en moi peuvent compter sur moi. Je le dis sans forfanterie: je ne les décevrai pas dans les prochains mois et les prochaines années.
Bonne soirée.
24 Comments:
Ah zut, étant en vacances, je n'ai qu'un accès épisodique à internet.
Je vais donc devoir attendre avant de prendre connaissanced de la décision de la commission des conflits.
Bon courage pour demain.
By Anonyme, at 12:02 AM
Les vacances, c'est le drame d'internet... et peut-être de la vie. Les vacances, ça ne devrait pas exister... Il ne faut rien laisser "vacant".
By Emmanuel Mousset, at 9:45 AM
Encore une aberration moderne mise en place par les socialistes, une de plus.
Supprimons les vacances et le monde ne s'en portera que mieux,
comment peut-on demander à une entreprise de payer ses salariés pour qu'ils soient en congés,
c'est un non-sens économique.
By grandourscharmant, at 10:04 AM
Ma boutade ne valait que pour moi, dans une perspective strictement personnelle.
Vous et vos amis de l'UMP, en bon adepte du "travailler plus", vous n'êtes guère favorable à ce progrès social que sont les congés payés. Votre hostilité aux 35 heures en est la dernière illustration.
Le non sens économique est de votre côté: le progrès économique est dans la productivité grâce à une meilleure organisation du travail et aux apports technologiques. C'est une loi de l'Histoire.
En travaillant plus, on gagne éventuellement plus, mais on ne produit pas mieux. Un système esclavagiste aurait un rendement économique inférieur à un système socialement évolué.
By Emmanuel Mousset, at 10:39 AM
la productivité, c'est ce qu'on produit en 1h
si en 1h on produit 50 et qu'on double la productivité
dans cette heure on produira 100.
si on travaille 2h, avec l'ancienne productivité, on produira
2*50=100
avec la nouvelle productivité, on produira
2*100=200.
Evidement tout cela est valable pour un systeme productif posté,
la façon dont on travaillait au 19e siecle.
Dans notre économie de service, on travaille différement et les criteres d'évaluation ne doivent plus etre les memes.
Hélas, il semblerait que votre grille d'évaluation n'ait pas été mise à jour depuis bien longtemps.
On ne doit plus raisonner en terme quantitatif pour la nouvelle économie des services mais en terme qualitatif.
On bascule d'une obligation de moyen à une obligation de résultat et d'efficacité qui implique une organisation du travail plus souple, plus autonome et plus responsable ainsi qu'une plus grande polyvalence.
Et sinon oui, pourquoi voudriez vous qu'on produise mieux en travaillant plus,
ce qui est demandé c'est de produire aussi bien.
Et quand ils sont imposés à ceux qui n'en veulent pas, les congés payés ne sont pas un progres mais une prison.
Chacun devrait pouvoir etre libre de négocier son temps de travail.
Celui qui veut travailler peu, travaille peu
celui qui veut travailler bcp, travaille bcp.
Aux employeurs et à la hiérarchie de s'adapter et de s'organiser, en fonction de cela.
Bizarrement, on leur trouve toujours des excuses quand ils ne sont pas capables de le faire.
Pourtant avec un minimum d'organisation et de planification, mais aussi le respect de la loi,
il est tout à fait possible de s'en sortir.
Et pour vous montrez que je ne parle pas dans le vide,
j'ai vu pratiquer dans un certain nombre d'entreprises des retards sur le paiement des salaires,
parce que la personne chargée de signer les cheques ou les virement était absente en fin de mois, parce que la personne chargée de comptabiliser les heures n'avaient pas pu le faire parce qu'elle n'était pas présente.
Que ce soit pour une réunion ou pour des congés payés, c'est à la hiérarchie de s'organiser, les salariés n'ont pas à devoir pâtir de la désorganisation.
Et puis une autre chose qui me choque, quand un salarié fait des heures supplémentaires, on lui accorde un crédit temps qu'il pourra récupérer ou se faire payer ultérieurement.
Quand un salarié fait des heures en moins, en général, c'est immédiatement déduit de sa feuille de paie.
L'équité serait peut etre qu'on accorde aux salariés des débits temps.
Mais ce serait avoir une approche du travail moderne et cohérente.
By grandourscharmant, at 1:35 PM
Je suis d'accord avec une bonne partie de ce que vous dites, mais il se pose un problème: "Chacun devrait pouvoir être libre de négocier son temps de travail", c'est un excellent principe (qui rejoint d'ailleurs l'idéal socialiste d'émancipation) , mais c'est un principe idéal dans une société idéale, dans laquelle les rapports de force n'existeraient pas et où il y aurait égalité entre les contractants. Ce n'est pas le cas dans notre mode de production capitaliste, où il y a un fort (le détenteur du capital) et un faible (celui qui est assujetti au travail). Quand nous aurons changé cela, oui, votre principe deviendra applicable.
By Emmanuel Mousset, at 5:56 PM
ce sera surtout applicable quand vous aurez renoncé à la lutte des classes
et que vous arrêterez de voir le monde au travers de ce prisme déformant.
Le jour où vous aurez renoncé à l'économie du 19e siecle, vous pourrez essayer celle du 21e.
Que dois je répondre quand vous m'expliquez "ce jour là votre principe sera applicable", sous entendu, aujourd'hui, il ne l'est pas.
quasiment toutes les sociétés sérieuses de services fonctionnent selon ces principes là, déjà aujourd'hui.
Si je suis parfois taquin sur les connaissances économiques que vous pouvez avoir, vous ou certains de vos lecteurs, ce n'est pas que je surestime mes connaissances,
c'est surtout que je constate les manques qui sont les votres.
A vous entendre n'existerait que l'emploi industriel posté héritage de la tradition des maitres des forges puisque c'est là dessus que repose votre mode de pensée économique.
Il faut accepter le progres et la modernité.
quand on pense qu'hier vous avez du chercher un cyber-café
parce que vous n'aviez pas de portable wi-fi pour vous connecter à un hot-spot.
Pour faire une comparaison avec l'agriculture, votre vision de l'économie dont vous parlez ce serait celle du labourage au char à boeuf alors qu'aujourd'hui, avec la technologie moderne et les gps
on peut définir au cm pres le labourage, mais aussi les semis et l'épandage en se géolocalisant avec son tracteur.
Le monde a connu la plus importante révolution industrielle de son histoire qui a fondamentalement transformé la façon d'appréhender le travail surtout au niveau des services et vos modeles idéologiques sont encore ceux qui datent de la précédente révolution industrielle.
Celui qui a le pouvoir aujourd'hui, c'est celui qui possede un savoir-faire, une compétence.
regarder les footballeurs professionnels, les boulangers, les patissiers, les plombiers, les serruriers, les couvreurs,...
c'est le marché, la loi de l'offre et de la demande qui définit les forts et les faibles.
Un tourneur fraiseur compétent aujourd'hui, un soudeur gagnent autant si ce n'est plus que certains cadres.
Nous sommes passés d'un économie de production à une économie de service.
Ca ne veut pas dire qu'il faut sacrifier l'appareil productif,
mais les regles qui s'appliquent en matiere de services sont différentes
car les servitudes n'ont plus rien à voir.
By grandourscharmant, at 7:30 PM
La lutte des classes, j'aimerais tant qu'elle n'existe pas! Marx lui aussi rêvait d'une société sans classe. Mais la réalité est là: les classes existent et leurs luttes d'intérêts aussi.
Les tourneurs fraiseurs ont le pouvoir et gagnent autant que les cadres? Je ne sais pas, c'est vous, en classique homme de droite, qui prétendez détenir la compétence économique.
Ce que je sais, c'est que les fils de médecins, d'avocats, de banquiers et de cadres supérieurs choisissent rarement, pour ne pas dire jamais, le métier de tourneur fraiseur pour leurs enfants. Bizarre, non, Monsieur le Compétent?
By Emmanuel Mousset, at 11:19 PM
ma compétence est relative, c'est par rapport à vous et à vos intervenants surtout.
avez vous entendu parler du mépris des classes supérieures pour les classes inférieures ?
Discuter de cela à la rentrée avec vos collegues et demandez leur pourquoi s'ils enverrez leur enfants dans ces filieres là.
et pour ne pas mourrir idiot allez faire un tour sur le site de l'anpe
bac pro chaudronnerie 1 à 2 expérience 18 000 à 25 000€ annuel pour 35h hebdo en cdi
un métallier ouvrier qualifié p1,p2
1800 à 2000 € mensuel pour 35h hebdo en cdi
Moi aussi je me suis toujours demandé pourquoi autant de parents envoyaient leur enfants en filiere universitaire psycho-social alors qu'il n'y a pas de débouchés
alors que dans la plasturgie par exemple, on a de nombreuses places à offrir et bien peu de candidats.
Mais si vous voulez continuer sur ce genre de paradoxe,
pourquoi les auto-didactes en général, se laissent impressionner par les diplomes universitaires qu'ils n'ont jamais eu au moment de recruter un subordonné,
alors qu'eux meme ont prouvé de part leur parcours que ce qui était le plus important c'était d'etre motivé et d'etre pret à faire les efforts suffisant et nécessaires.
La compétence prenant toujours le pas sur l'instruction.
By grandourscharmant, at 11:45 PM
Il faudrait inclure à votre réflexion les conditions de travail et le prestige social, pour comprendre comment se stratifie toute une hiérarchie sociale. La fiche de paye n'explique pas tout. Pendant longtemps, un dentiste n'était qu'un arracheur de dents dont personne ne voulait, sauf quand on avait mal aux chicots. Aujourd'hui, les jeunes filles de bonne famille rêvent d'épouser un chirurgien-dentiste.
By Emmanuel Mousset, at 12:26 AM
goc
quel escroc !
"bac pro chaudronnerie 1 à 2 expérience 18 000 à 25 000€ annuel pour 35h hebdo en cdi
un métallier ouvrier qualifié p1,p2
1800 à 2000 € mensuel pour 35h hebdo en cdi "
ref anpe 250392Z ou 503747U
ce sont des salaires bruts !!!!
cela revient à 1100/1200 euros par mois.
Appelez l'anpe pour vérifier.
By Anonyme, at 11:37 PM
instruisez moi comme faites vous pour passer de 1800€brut à 1100€ net
En général les charges salariales sont de 20 à 30%
70% de 1800 donne 1260
80% de 1800 donne 1440
soit autant ou presque qu'un professeur des écoles en début de carriere sans compter les primes et indemnités bien sur.
EM a raison, les chiffres sont vraiment l'arme des faibles.
Et on ne parle que de salaire pas d'avantages en nature, de primes de participation, d'intéressements,...
Vous etes loin, tres loin, tres, tres loin du monde de l'entreprise.
Je suis vraiment un terrible escroc,
mais etre pris pour un escroc par un ignorant est ce vraiment etre un escroc ?
By grandourscharmant, at 12:21 AM
Ne tournons pas autour des chiffres: Selon GOC, les ouvriers gagnent bien leur vie, les profs sont aisés et les riches n'ont pas ce qu'ils méritent. C'est ce qu'on appelle une vision de droite.
By Emmanuel Mousset, at 11:10 AM
dans un monde où 3 milliards d'individus doivent se débrouiller avec une trentaine d'euros par mois,
comparativement à ce que pouvait etre la condition ouvriere au début du 20e siecle, les ouvriers français du 21e siecle ont des conditions de vie décentes
le sous prolétariat actuel ce sont les employés de commerces et de la distribution ainsi que ceux de la restauration et de l'hotellerie.
Grace à l'action concertée du patronnat et des syndicats les conditions de travail dans l'industrie se sont significativement améliorées.
Mais quand on ne connait pas, forcément, on raconte n'importe quoi.
quand à vos collegues, la quasi totalité de ceux que je connais possede son logement et part en vacances un nombre significatifs de semaines comme des cadres ordinaires.
En général quand on a du mal à satisfaire ses besoins primaires, on ne se comporte pas ainsi.
Et sur les riches, la question du mérite ne se pose pas.
C'est juste qu'idiot comme je suis,
je prefere qu'ils paient des impots en France pour soutenir l'effort national,
plutot que de ne rien payer du tout ici et de les payer à l'étranger.
On sait bien comment vous etes à gauche, les riches on n'aime pas ça.
Oubliant juste que tout ce qu'un riche dépensera et paiera comme impot, ce sera toujours de l'argent en plus pour la communauté national.
C'est toujours mieux que d'aller prendre l'argent qu'ils n'ont pas aux autres.
De ce point de vue là, l'exemple de la buvette est significative,
vous allez surement nous expliquer que les conseillers régionaux ne sont pas des gens aisés et que c'est pour ça que l'ensemble de la population doit leur offrir leur champagne en plus de ce qui leur est déjà versé.
By grandourscharmant, at 1:02 PM
Vous me faites penser à ce conseiller municipal de droite qui sort de sa poche des photos de petits africains faméliques dès qu'on ose mettre en avant une revendication ou une protestation. Evidemment, avec un tel procédé, nous sommes tous très riches et nous n'avons aucunement à nous plaindre.
Quant à la buvette du conseil régional, c'est votre obsession de la semaine, je vous la laisse.
By Emmanuel Mousset, at 3:29 PM
c'est à lui qu'il faut présenter vos récriminations, pas à moi.
Mais peut etre pensez vous que je suis sa marionnette.
c'est vrai qu'il est honteux de rappeler qu'ici, on ne connait pas vraiment la famine et qu'on doit plutot gérer la profusion que le manque.
C'est sur que ça ruine votre principale argument de campagne qui est d'expliquer aux gens à quel point ils sont miséreux.
C'est vrai que toutes les revendications sont légitimes et que certains ne se plaignent pas d'aises.
rappeler qu'il y a des gens malheureux quand on est juste capable de dire, régression sociale majeure.
D'ailleurs, c'est certainement pour cela qu'on sert toujours gratuitement du champagne à la buvette du conseil régional,
il s'agit d'un avantage acquis, le supprimer, ce serait une régression sociale majeure.
Le fait d'etre riche ne dispense pas de se plaindre et de vouloir améliorer la société.
Par contre, il est indécent de vouloir un steack de plus dans son assiette au prétexte qu'on n'en aurait pas alors qu'on en a déjà un.
C'est cela aussi la solidarité, mais vous avez l'air d'avoir quelques difficultés avec ce que cela peut etre.
Pour le commun des mortels etre solidaire ce serait que les conseillers régionaux qui ont les moyens participent au financement de leur coupe de champagne,
pour vous, la solidarité, c'est que les citoyens via leur augmentation d'impots financent le champagne des conseillers régionaux.
2 visions de voir le monde, ne serions vous pas en train d'essayer de vous placer pour le devenir et pouvoir jouir de se privilege.
Si la région réduit ainsi son train de vie et évite d'augmenter l'impot des citoyens moi ça me convient tres bien, vous, vous préférez qu'on ne fasse pas d'économie et qu'on augmente les impots, encore et toujours.
By grandourscharmant, at 4:34 PM
Puisque vous vous entêtez, et comme je fais de la politique, j'avance une proposition: supprimons le champagne gratuit dans toutes les collectivités de France et de Navarre. C'est démago, c'est inutile, c'est idiot, mais ça vous plaît. Alors allons-y. Tiens, si on commençait par demander à PA et à XB ce qu'ils en pensent, de votre idée de génie?
By Emmanuel Mousset, at 9:19 PM
forcément basculons d'un extreme à l'autre,
vous ne savez etre qu'excessif.
Mais apres tout pourquoi pas, si on met en place des regles restrictives pour les cafetiers pourquoi les collectivités locales en seraient dispensées.
Apres tout, que pour une fois, elles donnent l'exemple, serait ce une si mauvaise idée ?
Que nos politiques assument, s'il n'y a plus d'argent et qu'il faut faire des économies, qu'on fasse des économies sur le superflu.
Et sans forcément supprimer, peut etre y a-t-il un moyen pour limiter la consommation.
Il est une chose que les collectivités reçoivent décemment leur hotes, il en est une autre que ceux qui sont censés l'administrer aient des frais de fonctionnement supérieurs à ce qu'il devrait etre.
Et ce que j'avance sur les collectivités territoriales est tout aussi valables pour les entreprises qu'elles soient privées ou publiques.
By grandourscharmant, at 9:30 PM
Le conseil régional ne commet aucun excès dans l'accueil de ses visiteurs.
By Emmanuel Mousset, at 10:20 PM
encore une manoeuvre de diversion,
ce n'est pas de cela dont il est question mais du bar réservé aux conseillers et de la cave à cigare.
pourquoi toujours vouloir changer de sujet,
celui là est si dérangeant ?
By grandourscharmant, at 10:53 PM
La cave à cigare n'est pas pour l'usage égoïste et personnel des élus mais à destination de leurs invités.
La buvette est une buvette comme il y en a partout ailleurs, à l'Assemblée Nationale par exemple.
Combien de fois faudra-t-il vous le répéter?
En quoi cela est-il choquant?
By Emmanuel Mousset, at 10:15 AM
répétez à l'envie la meme question
sans tenir compte des réponses
peut peut etre vous permettre de faire diversion sur la forme mais sur le fond cela ne change rien.
Vous auriez pu aussi citer le sénat,
c'est tout aussi choquant et pourquoi,
car ce sont des produits de luxe, qui sont superflu et non indispensable.
Il s'agit des symboles d'une certaine façon de voir les choses,
ce sont des privileges qui peuvent etre remis en cause.
Mais comme vous considérez qu'il s'agit d'avantages acquis ne changeons rien.
Vous avez surement du etre ravi de votre kir ce matin
By grandourscharmant, at 5:51 PM
Là encore, il faut vous répéter que je n'aime pas trop le kir, encore moins le champagne, mais la bière et le whisky. Et pour celui-ci, il faut aller dans les pots d'anciens combattants.
Je fais l'effort de me mettre à votre niveau, puisque ces choses-là vous préoccupent.
By Emmanuel Mousset, at 6:21 PM
ce qui me préoccupait surtout c'était de savoir ce que vous aviez fait ce matin.
By grandourscharmant, at 3:50 AM
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