Lectures à la FNAC.
Bonjour à toutes et à tous.
La FNAC, à travers les livres qu'elle choisit d'exposer, les meilleures ventes, est un bon reflet des préoccupations de notre société. J'ai noté la présence, sur les présentoirs, de nombreux ouvrages consacrés aux noirs de France et aux témoignages de jeunes maghrébines. Pour ma part, j'évite le rayon philosophie (je suis en vacances, tout de même!) et m'attarde à celui de sociologie. En bon prof de philo sûr de la supériorité de sa propre discipline, j'ai longtemps minoré l'importance de cette science qui me paraît aujourd'hui essentielle pour nos réflexions politiques, pourvu qu'elle ne se réduise pas à de la description statistique. Je crois beaucoup, pour toute discipline, aux vertus de l'interdisciplinarité.
Je passe rapidement la psychologie, l'introspection personnelle me lasse. L'ésotérisme me fait fuir mais je regrette que la FNAC y range la franc-maçonnerie dont les réflexions et les valeurs ont beaucoup à apprendre à une gauche qui se cherche. La religion retient toujours l'attention d'un laïque comme moi, notamment le bouddhisme, dont la rationalité m'intéresse, et l'orthodoxie, parce qu'elle est peu connue et nous informe sur le christianisme originel.
A la bibliothèque Vandamme, d'où je vous écris, j'ai emprunté un passionnant bouquin de Christophe Bourseiller sur le maoïsme en France et les entretiens de Rocard avec Benhamou, Si la gauche savait. Je termine le roman de Michel Ragon La mémoire des vaincus, une belle histoire des anarchistes.
C'est tout pour aujourd'hui. La bibliothèque fermant ce week-end, je vous retrouverai mardi, à moins que je ne sois tenté avant par une cyber boutique.
Bon week-end.
La FNAC, à travers les livres qu'elle choisit d'exposer, les meilleures ventes, est un bon reflet des préoccupations de notre société. J'ai noté la présence, sur les présentoirs, de nombreux ouvrages consacrés aux noirs de France et aux témoignages de jeunes maghrébines. Pour ma part, j'évite le rayon philosophie (je suis en vacances, tout de même!) et m'attarde à celui de sociologie. En bon prof de philo sûr de la supériorité de sa propre discipline, j'ai longtemps minoré l'importance de cette science qui me paraît aujourd'hui essentielle pour nos réflexions politiques, pourvu qu'elle ne se réduise pas à de la description statistique. Je crois beaucoup, pour toute discipline, aux vertus de l'interdisciplinarité.
Je passe rapidement la psychologie, l'introspection personnelle me lasse. L'ésotérisme me fait fuir mais je regrette que la FNAC y range la franc-maçonnerie dont les réflexions et les valeurs ont beaucoup à apprendre à une gauche qui se cherche. La religion retient toujours l'attention d'un laïque comme moi, notamment le bouddhisme, dont la rationalité m'intéresse, et l'orthodoxie, parce qu'elle est peu connue et nous informe sur le christianisme originel.
A la bibliothèque Vandamme, d'où je vous écris, j'ai emprunté un passionnant bouquin de Christophe Bourseiller sur le maoïsme en France et les entretiens de Rocard avec Benhamou, Si la gauche savait. Je termine le roman de Michel Ragon La mémoire des vaincus, une belle histoire des anarchistes.
C'est tout pour aujourd'hui. La bibliothèque fermant ce week-end, je vous retrouverai mardi, à moins que je ne sois tenté avant par une cyber boutique.
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