Une France sans socialistes?
Bonsoir à toutes et à tous.
Il y a quelques années, le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin avait fait un rêve: que les socialistes, tout simplement, n'existent plus politiquement. Le PS aujourd'hui, je le dis en pesant mes mots, est en danger de mort, de lente disparition au terme d'une lente désagrégation. Trois éléments constituent le dispositif de cette mise à mort:
1- Nicolas Sarkozy, durant sa campagne présidentielle, s'est emparé des symboles et références du PS: le travail, la classe ouvrière, Jaurès. Elu président, il a entraîné vers lui des hommes du PS et appliqué scrupuleusement cette stratégie d' "ouverture" pour les élections municipales. Maintenant, il veut pousser plus loin l'avantage, en mettant en avant son ministre préféré et premier ministrable Xavier Bertrand. Celui-ci applique à la lettre cette stratégie de captation d'héritage et de marginalisation du PS: il révèle, alors que personne ne lui demande rien, qu'il est franc-maçon du Grand Orient, c'est-à-dire un "progressiste". Et cela à l'approche du discours du président de la République rue Cadet, au siège de l'obédience: un événement, le chef de l'Etat dans un temple maçonnique!
Même un président de gauche ne l'avait pas fait ... Pourtant, Sarkozy n'est pas particulièrement laïque, cela va s'en dire. Bertrand lui a ouvert probablement le chemin des loges. L'opération est flagrante: reprendre au PS ce qui lui reste, la laïcité, le déposséder progressivement de son identité, lui enlever toute raison d'être. A Saint-Quentin, le républicain Grzeziczak, le social-démocrate Lebrun, le ségoléniste Saïdi ont fait le pas. L'objectif est d'asphyxier politiquement le PS, le laisser à l'état de baudruche.
2- Cette stratégie recoupe celle de François Bayrou, qui lui aussi est en pointe sur la laïcité, qui lui aussi rêve d'une France sans socialistes. Son omniprésence médiatique, sa virulence contre le gouvernement, sa récupération de thèmes progressistes, tout cela va également dans le sens d'une marginalisation du PS. Bayrou veut être l'opposant n°1 à Sarkozy, c'est évident. Et Sarkozy n'est pas fâché de voir Bayrou occuper la place du PS. Il sait que les centristes ne l'emporteront jamais contre lui, qu'ils peuvent être une force de nuisance mais pas une véritable alternative au pouvoir de droite. Bayrou, c'est l'assurance pour Sarkozy de conserver longtemps le pouvoir, l'opposition de Sa Majesté en quelque sorte.
3- Et puis, troisième élément du puzzle dans la stratégie sarkozienne de liquidation du Parti socialiste: jeter ce qui reste du PS dans les bras de l'extrême gauche, susciter sa radicalisation, le réduire à une force de protestation pour ainsi le priver de toute chance d'accéder aux responsabilités. Saint-Quentin est le "mini-laboratoire" de cette stratégie mortifère. Sarkozy peut là encore féliciter Bertrand.
Voilà les trois B d'un terrible plan B: Bertrand, Bayrou, Besancenot, la destruction du PS par une droite "sociale", un centre "progressiste" et une extrême gauche "ouverte", restreindre l'espace politique des socialistes jusqu'à peau de chagrin, les cantonner dans une éternelle opposition. Heureusement, moi et quelques autres ne croyons pas en l'éternité.
Bonne soirée.
Il y a quelques années, le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin avait fait un rêve: que les socialistes, tout simplement, n'existent plus politiquement. Le PS aujourd'hui, je le dis en pesant mes mots, est en danger de mort, de lente disparition au terme d'une lente désagrégation. Trois éléments constituent le dispositif de cette mise à mort:
1- Nicolas Sarkozy, durant sa campagne présidentielle, s'est emparé des symboles et références du PS: le travail, la classe ouvrière, Jaurès. Elu président, il a entraîné vers lui des hommes du PS et appliqué scrupuleusement cette stratégie d' "ouverture" pour les élections municipales. Maintenant, il veut pousser plus loin l'avantage, en mettant en avant son ministre préféré et premier ministrable Xavier Bertrand. Celui-ci applique à la lettre cette stratégie de captation d'héritage et de marginalisation du PS: il révèle, alors que personne ne lui demande rien, qu'il est franc-maçon du Grand Orient, c'est-à-dire un "progressiste". Et cela à l'approche du discours du président de la République rue Cadet, au siège de l'obédience: un événement, le chef de l'Etat dans un temple maçonnique!
Même un président de gauche ne l'avait pas fait ... Pourtant, Sarkozy n'est pas particulièrement laïque, cela va s'en dire. Bertrand lui a ouvert probablement le chemin des loges. L'opération est flagrante: reprendre au PS ce qui lui reste, la laïcité, le déposséder progressivement de son identité, lui enlever toute raison d'être. A Saint-Quentin, le républicain Grzeziczak, le social-démocrate Lebrun, le ségoléniste Saïdi ont fait le pas. L'objectif est d'asphyxier politiquement le PS, le laisser à l'état de baudruche.
2- Cette stratégie recoupe celle de François Bayrou, qui lui aussi est en pointe sur la laïcité, qui lui aussi rêve d'une France sans socialistes. Son omniprésence médiatique, sa virulence contre le gouvernement, sa récupération de thèmes progressistes, tout cela va également dans le sens d'une marginalisation du PS. Bayrou veut être l'opposant n°1 à Sarkozy, c'est évident. Et Sarkozy n'est pas fâché de voir Bayrou occuper la place du PS. Il sait que les centristes ne l'emporteront jamais contre lui, qu'ils peuvent être une force de nuisance mais pas une véritable alternative au pouvoir de droite. Bayrou, c'est l'assurance pour Sarkozy de conserver longtemps le pouvoir, l'opposition de Sa Majesté en quelque sorte.
3- Et puis, troisième élément du puzzle dans la stratégie sarkozienne de liquidation du Parti socialiste: jeter ce qui reste du PS dans les bras de l'extrême gauche, susciter sa radicalisation, le réduire à une force de protestation pour ainsi le priver de toute chance d'accéder aux responsabilités. Saint-Quentin est le "mini-laboratoire" de cette stratégie mortifère. Sarkozy peut là encore féliciter Bertrand.
Voilà les trois B d'un terrible plan B: Bertrand, Bayrou, Besancenot, la destruction du PS par une droite "sociale", un centre "progressiste" et une extrême gauche "ouverte", restreindre l'espace politique des socialistes jusqu'à peau de chagrin, les cantonner dans une éternelle opposition. Heureusement, moi et quelques autres ne croyons pas en l'éternité.
Bonne soirée.
18 Comments:
C'est terrible!!!!
vite un mouchoir, des bras tendus, de la lumière, quelque chose pour me soulager...
Trève de plaisanteries:
LE PS, depuis de longues années a tout fait pour rester la seule force politique à gauche.
D'ailleurs, l'UMP utilise la meme stratégie à droite... hum hum....
Il est à signaler également que le fossé se creuse entre les classes moyennes et pauvres , et les classes aisées..
Ne faudrait il pas une gauche vraiment de gauche afin de lutter contre cette droite plus à droite que le medef?
OUI, je sais, la société a évoluée, mais va en dicsuter avec les caissières de ton hypermarché .
bon courage
By Anonyme, at 10:32 PM
on peut penser que Jean-Pierre Raffarin
reve d'un centre fort
qui regrouperait les radicaux de gauche, les valoisiens, le nouveau centre, les progressistes, les sociaux démocrates, le modem,
un grand parti allant du centre droit au centre gauche,
pour le jeune giscardien qu'il a été
ça ne doit pas forcément etre facile de voir Sarkozy faire du néo giscardisme pour lui.
la seule chose qu'il manquerait à cette formation ce serait une base populaire car les partis cités sont surtout des partis de notables.
car apres si sarkozy a su forcer son destin,
bayrou était je crois convaincu que son heure était venu et il n'avait peut etre pas tort, puisqu'il a bcp gaché, mais s'il avait eu l'envergure aurait il autant gaché...
et certains au ps ont considéré avant que l'élection était imperdable
et pourtant elle a été perdu.
j'ai tendance à croire que rien n'arrive par hasard
j'ai entendu quelque chose d'intéressant sur le hasard
le hasard ça consisterait à attraper un cheveu dans le vent avec 2 doigts
mais pour pouvoir y arriver, il faut s'y etre préparé et avoir imaginé qu'on le réussissait
By grandourscharmant, at 10:37 PM
Ce billet est fort pessimiste et ne résiste pas à un analyse sérieuse et approfondie:
-1) ce n'est pas XB qui ouvre les portes du GO à Sarkosy mais Alain Bauer et Quillardet.
-2) Bayrou est désespérément seul et le Modem va à droite ou à gauche, là ou la victoire est la plus probable.
-3) le mini laboratoire St-Quentinois relève de votre fantasme du moment et après les municipales vous ferez un billet pour expliquer qu'au plan national le PS s'en est plutot bien tiré.
Il n'y a jamais de mort en politique.
By Anonyme, at 10:58 PM
A l'anonyme:
- Mon pessimisme est peut-être exagéré, mais il est le produit de mon inquiétude. Connaissez-vous aujourd'hui un seul socialiste sérieux qui ne soit pas inquiet?
- Bayrou a fait 17% des voix aux présidentielles, a capté de nombreux électeurs de gauche, ce qui a contribué à la défaite de Ségolène Royal. Le MoDem fera une liste pour les européennes de l'an prochain et Bayrou prépare déjà la prochaine présidentielle. Oui, je suis encore inquiet.
- Bertrand se la joue franc-maçon. Expliquez-moi pourquoi.
By Emmanuel Mousset, at 11:48 PM
A Alain:
- Le titre de mon billet portait un point d'interrogation. J'ai voulu exorciser la menace.
- Une gauche vraiment à gauche oui, à l'extrême gauche non.
A Grandours:
La politique est un mélange de hasard et de destin. Je dirais qu'il faut forcer son destin à travers le hasard.
By Emmanuel Mousset, at 11:52 PM
Attention aux adjectifs
Une droite "sociale"!!!
un centre "progessif"!!!
Je vous propose un socialisme vivant et l'adjectif est bien choisi. Le socialisme vivant
Face à une droite dure et déterminée, et après trois défaites consécutives aux présidentielles, la gauche n’est pas au mieux de sa forme. Fort logiquement, les appels au sursaut fleurissent. Même les plus fervents adeptes de l’immobilisme se sentent obligés de plaider en faveur de la nécessaire « rénovation ».
Celle-ci ne doit en aucun cas se traduire par la liquidation pure et simple de nos valeurs et de nos principes. De même, il ne saurait être question de renoncer à la stratégie d'unité de la gauche, qui a toujours été la condition de la transformation sociale. Droitisation, renoncement, alliances au centre: nous n'accompagnerons pas cette mutation. Au contraire, il est temps de renouer aujourd'hui avec la bataille idéologique et culturelle. La gauche ne peut rester passive face à une droite décomplexée qui a réussi à imposer son vocabulaire et à légitimer ses problématiques. Face à cette offensive conservatrice, la gauche doit réaffirmer la modernité de ses valeurs et se réarmer idéologiquement. Cela suppose de renouer avec le débat et la réflexion intellectuelle. Telle est l'ambition de Gauche Avenir.
Au delà de cette entreprise idéologique, nous voulons réaffirmer un cap stratégique : celui de l'unité.
- L’unité est une nécessité historique pour reconstruire une gauche forte après les échecs répétés des présidentielles et pour donner au camp progressiste une réelle capacité à combattre les reculs sociaux, les dérives néolibérales et à faire naître une véritable alternative politique.
- L’unité est une question majeure pour la gauche et singulièrement pour ceux qui refusent les tentations d’alliance au centre ou l’affadissement de son projet de transformation sociale.
1)- L’unité de la gauche, pour une gauche offensive et décomplexée
L’exigence d’unité va de pair avec l’affirmation forte et sans complexe de l’identité contemporaine de la gauche. Cette identité ne doit pas être réduite à quelques généralités ou formules creuses. Elle suppose une vision critique du modèle capitaliste financier transnational dominant, la promotion d’une société laïque, émancipatrice pour chaque homme et chaque femme, le combat pour la liberté, l’égalité et la fraternité sur tous les champs de la vie sociale, l’affirmation d’un internationalisme solidaire et respectueux de la planète, alternatif à la mondialisation néo-libérale.
2)- Contre l’alliance au centre
Nous ne pouvons pas rester impassibles et impuissants face aux prises de positions répétées de responsables du PS en faveur d’accords avec le Modem. Hier, ce fut la confusion entre les deux tours des présidentielles, aujourd’hui c’est l’appel de certains pour les municipales.
L’unité de la gauche est la seule alternative à ces dérives. Elle seule redonnera du sens au clivage gauche-droite et peut créer une nouvelle dynamique qui dépassera, le moment venu, les partis existants. Elle doit mobiliser la jeunesse mais aussi les hommes et les femmes de gauche engagés dans des clubs, associations, syndicats, qui ne se sentent pas utiles et reconnus dans les partis existants.
3)- Concilier gestion et contestation
L’ambition de la gauche doit être aussi d’assumer le pouvoir, de transformer la société par l’action gouvernementale, en veillant à solliciter le concours des citoyens. Les exigences de la gestion ne doivent en rien empêcher une perspective culturelle et politique plus vaste et plus radicale, car le combat de la gauche ne se limite pas à la gestion des affaires publiques !Son ambition doit être de retrouver le sens de ce que Jaurès appelait « l'évolution révolutionnaire »
4)- L'unité, condition de la victoire électorale et du changement social
La gauche n’est jamais arrivée au pouvoir que rassemblée. Ce fut le cas, avec le Front populaire en 1936, avec l’Union de la gauche en 1981 ou même avec la Gauche plurielle en 1997. A contrario, les divisions ont toujours été fatales à la gauche et les ouvertures au centre se sont soldées par des désastres électoraux et des renoncements inacceptables. L’unité ne peut se décréter au dernier moment, uniquement dans un accord électoral et moins encore compter sur l’automatique désistement au second tour, qui en est la version minimale.
5)- L’unité, pour mobiliser tout le peuple de gauche
Même si, sur le terrain électoral, le PS se porte mieux que les autres, il faut reconnaître que tous les partis de gauche et du monde écologiste vont mal. Bon nombre de militants et de citoyens sont désorientés.
Au delà des partis, il y a la gauche syndicale, des associations ou des clubs qui ont souvent incarné une forme de militantisme dans les phases de crises et de refondation.
La gauche n’est pas seulement représentée par ses partis. C’est particulièrement net aujourd’hui lorsqu’on regarde leur nombre d’adhérents et surtout de militants, qui a considérablement diminué depuis 30 ans. Il y a donc des forces inemployées, des hommes et des femmes de gauche, qui ne voient pas l’intérêt de militer dans les partis ou se défient d’eux.
6)- Une dynamique à créer
Ce n’est pas parce que l’unité est difficile à réaliser qu’il faut y renoncer. Cela nécessitera, à l'évidence, de nombreuses étapes.
Toute l’histoire du mouvement socialiste et communiste montre qu’il a fallu que les militant(e)s de cette cause mènent bien des combats et un travail de conviction pour surmonter les tendances à la dispersion et aux querelles internes.
Gauche Avenir, dès son origine, a fait ce choix. Toutes les contributions, tous les échanges, toutes les réunions ont déjà montré une forte aspiration unitaire.
-> Actualiser les valeurs de gauche
Gauche Avenir, sans prétendre se transformer en un nouveau parti, veut être un acteur déterminant de cette dynamique, notamment en poursuivant son travail de fond. Donner un contenu clair à nos valeurs, jeter les bases d’un projet rassembleur et offensif: telle est l'ambition de Gauche Avenir.
Le partage des richesses doit être remis au cœur du projet de la gauche. Il faut réaffirmer que les politiques publiques doivent viser à améliorer la situation du salariat et non à tenter d’amadouer un capitalisme prédateur et destructeur de l’environnement ; que la socialisation des services publics essentiels est la condition sine qua non pour repenser des services modernes, efficaces et véritablement accessibles à tous. Plus que jamais, la démocratie et la république doivent s’imposer dans la sphère économique et sociale. Quant à l’écologie, elle devient une nouvelle frontière, qui impose une vision à long terme et « soutenable » du développement.
Dans les années 70, c’est la rédaction d’un programme commun qui a permis l’union, car à l’évidence il était impossible à l’époque de surmonter les divergences idéologiques.
Aujourd’hui, l’expérience gouvernementale et la réalité mondiale et culturelle nous imposent au contraire de redéfinir un cadre idéologique et, en tout cas, un corpus de valeurs et un projet politique et culturel. Comme tout est fait pour disqualifier l’idée d’alternative politique (pseudo-droitisation de la société française, acceptation sans nuance du capitalisme sous prétexte de modernisme, pseudo-dépassement du clivage droite-gauche, disparition supposée des classes sociales…), il s’agit bel et bien de redonner à celle-ci de la vigueur et de la crédibilité.
-> Une Charte de l’unité de la gauche.
La réflexion doit être commune et associer largement tous ceux qui souhaitent cette unité. Bien sûr, nous agissons dans nos partis, nos associations et nos syndicats respectifs dans cette direction. Mais nous pensons qu'il faut aller plus loin et préparer une Charte de l’unité de la gauche.
Il ne s’agit pas d’abandonner nos engagements, lorsque nous en avons, mais bien, comme ce fut souvent le cas dans l’histoire de la gauche et des républicains, de constituer un espace de rénovation et d’initiative susceptible ensuite de déclencher un mouvement général.
7)-Une « construction collective ».
« Fabrique » de la Charte pour l’unité de la gauche, Gauche Avenir veut être un lieu de convergence de tous les combats progressistes contemporains.
La situation actuelle exige de profonds changements et l’émergence d’un monde meilleur. Il est temps de surmonter les divisions sclérosantes d’aujourd’hui et de trouver dans les profondeurs de la gauche française les raisons d’espérer et les forces de l’action.
Cette « construction collective » est une tâche exaltante et réalisable.
By jpl, at 8:25 AM
JPL vous n'aurez pas mon vote
vous et vos bourgeois enseignants qui appartiennet à la classe capitaliste
vous n'avez rien à faire au sein de la gauche prolétarienne.
By grandourscharmant, at 4:30 PM
Si Grandours se met lui aussi à faire de la surenchère d'extrême gauche, où va-t-on!
By Emmanuel Mousset, at 4:53 PM
Pour une fois qu'un commentaire avait du fond ...y a plus personne.
By Anonyme, at 9:44 PM
Quel commentaire? Si vous voulez parler du long texte envoyé par JPL, je n'appelle pas ça un commentaire mais une récitation. Dans le langage moderne et informatique, on parle de "copier coller". C'est tout sauf de la réflexion personnelle.
Mais j'espère pour vous et pour votre intelligence que vous faites allusion à un autre commentaire.
By Emmanuel Mousset, at 9:57 PM
Je n'ai jamais pensé avoir la science infuse.
Mais, au fait, que penses-tu du copié-collé?
C'est cela le plus intéressant.
Quand je me retouve daans les écrits d'une pensée collective, il est bon de la partager.
En toute fraternité.
By jpl, at 10:43 PM
J'ai trouvé et mon intelligence aussi que le texte proposé par JPL était intéressant; en tout cas davantage que certains commentaires. Et dites nous pourquoi il ne vous plait pas cet article, ce sera plus intéressant.
By Anonyme, at 11:17 PM
Le copier coller, c'est la plaie d'Internet. Tout le monde se renvoie les mêmes textes, sans y réfléchir. Le catéchisme, je n'aime pas ça. Vous ne trouverez pas dans mes billets des textes intégraux de DSK. Il m'arrive de noter des passages, mais suivis de commentaires. Désolé, je préfère une petite réflexion personnelle, même très modeste, à du repiquage de texte.
Mais chacun fait comme il veut, liberté avant tout. Je vous ai simplement donné mon avis.
Le texte de Gauche Avenir, je n'en partage pas les grandes orientations. Les lecteurs de ce blog savent pourquoi, je le rappelle régulièrement.
By Emmanuel Mousset, at 12:14 AM
Je ne suis pas tout à fait d'accord parce que ce texte est intéressant et qu'il fait réfléchir précisément. A contrario les extraits sortis de leur contexte avec des commentaires le cas échéant orientés ne font pas necessairement avancer le débat.Je préfère l'original à la copie mais c'est là evidemment un choix tout personnel.
By Anonyme, at 12:29 PM
Si ce texte vous fait réfléchir, faites-nous partager vos réflexions. Mais ne vous agenouillez pas devant un texte (ni devant personne).
By Emmanuel Mousset, at 12:59 PM
Cette invitation sentencieuse me détourne de le faire.
By Anonyme, at 2:43 PM
Cette invitation sentencieuse me détourne de le faire.
By Anonyme, at 2:43 PM
Enfin vous suivez mes recommandations. Vous êtes sur la bonne voie ...
By Emmanuel Mousset, at 4:49 PM
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