Plus gauche que gauche.
Bonsoir à toutes et à tous.
Le présent billet complète celui d'hier, où j'avais parlé de mes camarades de l'aile gauche et leur position en vue du congrès, mais seulement le courant de Mélenchon. Je veux ce soir évoquer le NPS, non pas celui de Peillon, qui a rallié Royal malgré un positionnement initial très à gauche, mais le NPS de Hamon. Dans Le Monde du 26 mars, un article de celui-ci, en compagnie d'Henri Emmanuelli, donne le ton. Ce n'est pas du Mélenchon, mais on s'en rapproche. Dommage, j'avais espéré, avec mes camarades strauss-kahniens, que Benoît se rapprocherait des "reconstructeurs". Il avait fait timidement quelques pas, il y a quelques semaines. Et puis les municipales sont arrivées et l'huître s'est refermée. Avec Henri, pas de surprise: son socialisme bougon campe à gauche du Parti depuis bien longtemps. Mais Benoît, sa jeunesse, son ouverture, sa proximité passée avec Martine Aubry laissaient croire à un autre choix. Tant pis.
Quelle est donc l'analyse de mes deux camarades, et en quoi je n'y adhère pas? Le titre, comme souvent un titre quand il est bon, est éloquent: "Municipales: les électeurs veulent une gauche de gauche." L'expression est lâchée, je la connais bien, elle ne veut rien dire. C'est quoi une gauche de gauche? Moi, je ne comprends que la gauche tout court. Mais la gauche répétée, ça m'échappe. Sinon, on suppose qu'existe une gauche de droite! C'est quoi ce truc-là? N'importe quoi, une formule polémique pour discréditer. Et pourquoi pas une droite de gauche, tant qu'à faire! Non, c'est idiot. La gauche est la gauche, point. Vous vous souvenez du sketch de Coluche, la lessive qui lave plus blanc que blanc. La gauche plus gauche que la gauche, c'est pareil, c'est absurde.
Notez bien la nuance: la gauche de gauche n'est pas la gauche de "la" gauche. Là, je saisis: c'est l'extrême gauche. Non, nous ne sommes pas à Saint-Quentin, où nous avons, encore plus fort, une gauche d'extrême gauche. Alors, c'est quoi cette gauche de gauche que nous ressortent Hamon et Emmanuelli? Elle est ce que "veulent" les électeurs, si j'en crois le titre de l'article. Je vais vous faire une confidence: je ne sais pas ce que "veulent" les électeurs, et bien malins, sauf apparemment mes deux camarades, ceux qui le savent. En revanche, je constate ce qu'ils votent: à droite aux présidentielles et quelques mois plus tard à gauche aux municipales. Je n'observe que cela. Le reste ne sont que des interprétations fragiles et subjectives. Y a-t-il "radicalisation" de l'électorat, comme le soutiennent Hamon et Emmanuelli? Difficile à dire. En 2005, la victoire du non à la Constitution européenne était interprétée comme une vague antilibérale. Deux ans après, Sarkozy triomphait sur une ligne très à droite. Les supputations, laissons ça à ceux qui supputent...
A part ça, quoi de neuf pour nos camarades? Pas grand-chose, sinon qu'il ne faut surtout pas s'allier avec le MoDem. Mais même ça, la gauche de gauche le redoute depuis toujours. L'alliance au centre, c'est son grand méchant loup. Chevènement la dénonçait déjà dans les années 70. Vous avez vu ce qu'est devenu Chevènement? Son MRC s'est réuni dimanche. C'est une espèce un peu particulière, des antilibéraux qui ont soutenu avec ferveur Ségolène. Allez y comprendre quelque chose! Maintenant, ils songent à rentrer au bercail, rejoindre le PS. Freddy à Saint-Quentin va peut-être frapper à notre porte, qui sait?
Quoique sur le MoDem, Hamon et Emmanuelli ne sont pas si tranchés: "Si le MoDem décide de rejoindre le camp de la gauche et ses valeurs progressistes, il sera le bienvenu." Que veut dire cette phrase? Je ne sais pas trop, mais elle reflète en gros ma position. Je n'emploierai pas ces mots-là, mais l'idée est bien celle-là, la cohérence politique des centristes.
NPS, "Trait d'union", il reste le point de vue des fabiusiens pour compléter le tableau de l'aile gauche. Laurent continue à jouer le rôle de "sage actif", c'est-à-dire plus observateur qu'acteur de la vie politique. Une partie de son courant se rapproche des strauss-kahniens en vue d'un dialogue constructif. Très bien. Mais qu'en pensent les néo-fabiusiens de Saint-Quentin? De devoir discuter avec moi, ça risque de gâcher leurs nuits. Moi, je dors tranquille.
Bonne soirée ... et bonne nuit.
Le présent billet complète celui d'hier, où j'avais parlé de mes camarades de l'aile gauche et leur position en vue du congrès, mais seulement le courant de Mélenchon. Je veux ce soir évoquer le NPS, non pas celui de Peillon, qui a rallié Royal malgré un positionnement initial très à gauche, mais le NPS de Hamon. Dans Le Monde du 26 mars, un article de celui-ci, en compagnie d'Henri Emmanuelli, donne le ton. Ce n'est pas du Mélenchon, mais on s'en rapproche. Dommage, j'avais espéré, avec mes camarades strauss-kahniens, que Benoît se rapprocherait des "reconstructeurs". Il avait fait timidement quelques pas, il y a quelques semaines. Et puis les municipales sont arrivées et l'huître s'est refermée. Avec Henri, pas de surprise: son socialisme bougon campe à gauche du Parti depuis bien longtemps. Mais Benoît, sa jeunesse, son ouverture, sa proximité passée avec Martine Aubry laissaient croire à un autre choix. Tant pis.
Quelle est donc l'analyse de mes deux camarades, et en quoi je n'y adhère pas? Le titre, comme souvent un titre quand il est bon, est éloquent: "Municipales: les électeurs veulent une gauche de gauche." L'expression est lâchée, je la connais bien, elle ne veut rien dire. C'est quoi une gauche de gauche? Moi, je ne comprends que la gauche tout court. Mais la gauche répétée, ça m'échappe. Sinon, on suppose qu'existe une gauche de droite! C'est quoi ce truc-là? N'importe quoi, une formule polémique pour discréditer. Et pourquoi pas une droite de gauche, tant qu'à faire! Non, c'est idiot. La gauche est la gauche, point. Vous vous souvenez du sketch de Coluche, la lessive qui lave plus blanc que blanc. La gauche plus gauche que la gauche, c'est pareil, c'est absurde.
Notez bien la nuance: la gauche de gauche n'est pas la gauche de "la" gauche. Là, je saisis: c'est l'extrême gauche. Non, nous ne sommes pas à Saint-Quentin, où nous avons, encore plus fort, une gauche d'extrême gauche. Alors, c'est quoi cette gauche de gauche que nous ressortent Hamon et Emmanuelli? Elle est ce que "veulent" les électeurs, si j'en crois le titre de l'article. Je vais vous faire une confidence: je ne sais pas ce que "veulent" les électeurs, et bien malins, sauf apparemment mes deux camarades, ceux qui le savent. En revanche, je constate ce qu'ils votent: à droite aux présidentielles et quelques mois plus tard à gauche aux municipales. Je n'observe que cela. Le reste ne sont que des interprétations fragiles et subjectives. Y a-t-il "radicalisation" de l'électorat, comme le soutiennent Hamon et Emmanuelli? Difficile à dire. En 2005, la victoire du non à la Constitution européenne était interprétée comme une vague antilibérale. Deux ans après, Sarkozy triomphait sur une ligne très à droite. Les supputations, laissons ça à ceux qui supputent...
A part ça, quoi de neuf pour nos camarades? Pas grand-chose, sinon qu'il ne faut surtout pas s'allier avec le MoDem. Mais même ça, la gauche de gauche le redoute depuis toujours. L'alliance au centre, c'est son grand méchant loup. Chevènement la dénonçait déjà dans les années 70. Vous avez vu ce qu'est devenu Chevènement? Son MRC s'est réuni dimanche. C'est une espèce un peu particulière, des antilibéraux qui ont soutenu avec ferveur Ségolène. Allez y comprendre quelque chose! Maintenant, ils songent à rentrer au bercail, rejoindre le PS. Freddy à Saint-Quentin va peut-être frapper à notre porte, qui sait?
Quoique sur le MoDem, Hamon et Emmanuelli ne sont pas si tranchés: "Si le MoDem décide de rejoindre le camp de la gauche et ses valeurs progressistes, il sera le bienvenu." Que veut dire cette phrase? Je ne sais pas trop, mais elle reflète en gros ma position. Je n'emploierai pas ces mots-là, mais l'idée est bien celle-là, la cohérence politique des centristes.
NPS, "Trait d'union", il reste le point de vue des fabiusiens pour compléter le tableau de l'aile gauche. Laurent continue à jouer le rôle de "sage actif", c'est-à-dire plus observateur qu'acteur de la vie politique. Une partie de son courant se rapproche des strauss-kahniens en vue d'un dialogue constructif. Très bien. Mais qu'en pensent les néo-fabiusiens de Saint-Quentin? De devoir discuter avec moi, ça risque de gâcher leurs nuits. Moi, je dors tranquille.
Bonne soirée ... et bonne nuit.
29 Comments:
si tu n'est pas d'accord avec le fait qu'une partie de la gauche s'est aujourd'hui recentrée vers le centre droit et la droite, alors tu es vraiment un grand naif:
il y a des gens de gauche, d'autres à droite et puis ceux, au départ à gauche, qui essayent de basculer, avec leurs amis , vers la droite( comme jean-pierre B.).
Et toi, tu es ou d'abord?
By Anonyme, at 10:27 PM
Je m'étonne de ce que vous ne puissiez pas vous empécher de ramener tout à votre petite personne et à une situation locale qui vous échappe.
Le pouvoir échoit nécessairement à celui qui est parvenu à créer les circonstances pour l'obtenir et, à l'inverse, il échappe à celui qui ne l'a pas compris.
Une lecture du dernier srutin ayant conduit à la désignation du candidat de la gauche à St-Quentin sous cet éclairage permettrait de lever un certain nombre de solides incompréhensions.
Vous n'avez ni la lucidité, ni l'aptitude, ni l'habileté à saisir les opportunités qu'offrent les circonstances.
Vous ne vous etes pas présenté parce que vous n'etes pas un rassembleur et que vous n'auriez pas éte élu.
Vos critiques systématiques de la gauche à St-Quentin sont tellement outrancières, stupides,et excessives qu'elles vous discréditent définitivement dans la recherche d'une quelconque responsabilité au sein de la gauche à St-Q. C'est ainsi; tout le reste ce ne sont que des mots et pas de la politique.
Si par exemple vous ne comprenez pas des expressions comme "une gauche de gauche" il faut vraiment avoir, comme dirait Pierre Bourdieu, la naïveté d'un social-démocrate.
Si d'aventure vous souhaitez retrouver un soupçon de crédibilité, et les enjeux électoraux étant maintenant moins urgents, cessez une critique qui devient insignifiante parce qu'excessive, et enfin proposez des choses très concrètes.
By Anonyme, at 12:20 AM
Bonsoir à tous,
ces débats sur le clivage gauche/droite sont anachroniques :
- Sarkozy flirte avec l'extreme-droite (immigration), mais il est considéré à l'étranger comme un 'centre-droit' (interventionnisme d'état).
- S. Royal est considéré comme blairiste (rapport à l'ordre), mais produit un 'Pacte présidentiel' ultra-étatiste.
- Dominique Voynet n'est pas antilibérale, mais elle reste classée bien à gauche (écologie radicale).
- Le Pen propose de faire plein de social (allocation importante aux 'femmes au foyer').
Les critères de clivage Gauche/Droite existent toujours, mais ils sont beaucoup moins simplistes qu'avant la mondialisation.
J'imagine que les nouveaux clivages correspondent à des enjeux plus importants que notre dérisoire politique intérieure. Je propose, par exemple :
- le rapport à la mondialisation (pour ou contre l'Europe ? Frontières ouvertes ou fermées ?)
- le rapport à la préservation de la planète (productivisme ou croissance modérée ?).
Dans ce cas, la soi-disant 'vraie Gauche' se retrouve très proche de la Droite souverainiste.
By Anonyme, at 2:06 AM
A Fandesourspolaires:
Bin moi, je suis avec DSK, social-démocrate, réformiste, ou pour faire plus simple: socialiste. Evident non?
A Henry:
Vos propos m'encouragent à poursuivre et à accélérer ma critique envers la vieille gauche locale, que vous défendez avec l'énergie de celui qui se sait condamné. Vous tombez dans les "bourdieuseries", là encore ça ne m'étonne pas. Gauche de gauche, Bourdieu et tutti quanti, tout ça se tient et s'écroule. Avec vous, Henry.
By Emmanuel Mousset, at 9:04 AM
Bonjour Thierry.
Je suis en gros d'accord avec toi, droite-gauche, le clivage est à revoir. D'ailleurs, dans notre histoire politique, il a sans cesse été modifié, ce n'est pas une nouveauté. Mais je tiens à l'existence de ce clivage, qui est structurant pour notre démocratie.
Bonnes vacances.
By Emmanuel Mousset, at 9:19 AM
tu réponds toujours à coté lorsque ca ne t'arrange pas, si tu fais de meme avec tes élèves, bonjour l'angoisse!
tu critiques sans faire évoluer le débat et sans évoluer toi meme, d'ailleurs tes invectives restent isolées et sans réels soutiens...
By Anonyme, at 5:49 PM
Je confirme malheureusement ce que dit ce dernier intervenant. Ce n'est meme pas une réponse à coté , c'est pas de réponse du tout.
Il devient difficile de discuter parce qu'il n'y a plus personne en face.
By Anonyme, at 6:43 PM
Et moi je réponds aux deux précédents commentaires: honte à ceux qui s'expriment masqués! Je tiens un blog, je m'expose, je vous laisse me répondre et m'attaquer, je supporte même votre lâche anonymat. Faites-en autant, apprenez le courage, après on verra ce que vous valez.
By Emmanuel Mousset, at 7:51 PM
Vous me faites trop rigoler là!...Trop facile.
By Anonyme, at 8:29 PM
S'il ne vous reste plus que le rire, c'est qu'il ne vous reste plus grand-chose. Mais c'est déjà ça...
By Emmanuel Mousset, at 9:10 PM
Le rire est essentiel mais je sais que n'aimez pas le rire et que vous ne prétendez d'ailleurs pas etre drole.
En revanche et c'est curieux voila plusieurs fois que vous calez et que je vous coince sur cette meme question. Psycho-rigide peut-etre?
By Anonyme, at 2:01 PM
Oui, psycho-rigide, et savez-vous pourquoi? Parce que c'est ainsi que l'on qualifiait celui qui a été mon premier maître en politique, celui grâce à qui j'ai adhéré au PS: Lionel Jospin.Psycho-rigide, ce sont ses adversaires qui employaient ce mot. Vous devez en être, je suppose. Psycho-rigide, ça veut dire: être politiquement honnête. Mais ça aussi, ça doit vous faire rire, pauvre Henry.
By Emmanuel Mousset, at 10:06 AM
Je n'ai jamais été un adversaire de Lionel Jospin, au contraire.Mais cela fait 2 fois que vous me re-servez, au mot près, le meme commentaire.Il faut progresser dans le débat et surtout ça ne devrait pas vous empécher de répondre à la question. C'est quand meme ça le but de ce blog.En revanche vous avez parfaitement le droit de dire"je ne veux pas ou je ne souhaite pas répondre".
By Anonyme, at 2:25 PM
jospin militant trotskyste agent double infiltré au sein du ps comme symbole de l'honneteté en politique
on ne peut pas faire plus pertinent comme référence.
By Unknown, at 2:29 PM
vous même est un agent double GOC, car vous n'avez même pas le courage, d'assumer vos commentaires en les signant !
MOURAD
By Anonyme, at 9:15 PM
Henry,
Si je vous réponds la même chose, c'est que vous me demandez la même chose. Réfléchissez un peu, tout de même!
By Emmanuel Mousset, at 11:16 PM
Nounours,
Je vous ai conseillé de vous adresser à votre patron Bertrand en matière de tactique politique. Et vous me ressortez Jospin, agent trotskyste! C'est désespérant...
By Emmanuel Mousset, at 11:18 PM
quand je serais salarié, je respecterais le lien de subordination induit, mais subordination ne signifie pas soumission.
En plus, me soumettre à un maillon faible si on suit votre analyse,
vous avez donc une si mauvaise opinion de moi.
votre probleme vient peut etre de votre camp où il aurait fallu vous soumettre à JPL alors que déjà vous refusez de lui etre subordonné.
Je sais que vous en doutez mais il y a une vie en dehors des modes de fonctionnement du ps.
By Unknown, at 12:22 PM
Je n'ai pas une mauvaise opinion de vous. Tout dépend de vos commentaires. Depuis quelques temps, je vous trouve moins bon qu'au début. Mais ça doit être comme dans la vie de couple...
Soumission, subordination, ces mots ne font pas partie de mon vocabulaire. Mais discipline et fidélité, oui. A mes idées, à mon Parti. A un homme, jamais.
Bien sûr qu'il existe une vie en dehors du PS. Je fais même partie de ceux qui pensent qu'il y a de la vie dans l'univers. Et j'en parle parfois sur ce blog.
By Emmanuel Mousset, at 1:04 PM
EM réfléchissez un peu que diable, si je reformule la meme question c'est que vous n'avez pas répondu à la 1ére. Ne renversez pas la charge de la preuve.
Par ailleurs votre réaction sur le commentaire de l'ours est affligeante. Vous avez une bonne ou une mauvaise opinion de quelqu'un suivant que ses commentaires vont dans votre sens ou pas. Ce n'est pas ainsi que je vois les choses.
By Anonyme, at 5:15 PM
Henry,
Je réponds à toutes les questions qu'on me pose, mais je n'aime pas me répéter.
Je ne suis pas ce que vous croyez: j'aime qu'on me critique et qu'on me conteste, c'est stimulant pour la pensée. Mais les attaques doivent être intelligentes, sinon je m'ennuie.
L'ours est parfois miteux dans ses commentaires. Parfois seulement, heureusement.
By Emmanuel Mousset, at 8:59 PM
Je crois que vous avez vous aussi vos grosses faiblesses et sans doute des réflexions parfois miteuses.
Mais au fait qui décide qu'une critique est intelligente? Ah oui c'est vous sans doute.
Par ailleurs vous vous répétez souvent pour critiquer vos camarades mais la c'est normal bien sur.
By Anonyme, at 9:17 PM
L'intelligence, ça se sent. La bêtise aussi, vous devriez en savoir quelque chose.
Je ne critique pas mes camarades, je critique les poperénistes de Saint-Quentin parce qu'ils ont trahi l'idéal socialiste et ont vendu la section à l'extrême gauche. L'intelligence consiste aussi à être précis dans ce qu'on dit, cher Henry.
By Emmanuel Mousset, at 12:26 AM
Comme vous la haine est un sentiment qui m'est étranger et le fait que vous parliez de bétise m'indiffère.
par ailleurs au sein du PS y a t-il des gens que l'on peut ou doit appeler camarades et d'autres non. C'est une question que je pose.
By Anonyme, at 1:45 PM
Tout adhérent du Parti socialiste peut être appelé "camarade", oui. Mais ma remarque ne portait pas là-dessus. Vos propos précédents laissaient entendre que je critiquais "mes camarades" en général, alors que je ne visais qu'une minorité, communément appelée "poperénistes".
J'avais, Henry, le souci de la précision et de la vérité. Je vous conseille à vous aussi ces deux objectifs, ça aide bien dans la vie.
By Emmanuel Mousset, at 2:49 PM
Le pb c'est que ma question portait la dessus.Les adhérents du PS sont des adhérents du PS. Point.
By Anonyme, at 8:54 AM
Si nous sommes d'accord (du moins sur ce point), je ne vois pas pourquoi vous m'interrogez ni où vous voulez en venir.
Vous êtes bizarre, Henry, vous me faites penser à Henry Gale, de son vrai nom Benjamin, l'inquiétant chef des "Autres" dans l'excellente série télévisée "Lost".
By Emmanuel Mousset, at 10:33 AM
Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
Pour le reste nous n'avons pas je crois les memes valeurs.
By Anonyme, at 1:59 PM
J'espère bien que nous n'avons pas les mêmes valeurs! En tout cas, je n'adhère pas aux vôtres ni à celles de l'ours. Mais c'est très bien comme ça: ça s'appelle la démocratie.
By Emmanuel Mousset, at 3:11 PM
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