La Guerre des Mondes.
Bonjour à toutes et à tous.
J'ai regardé hier soir l'un des DVD que je me suis acheté dimanche à Saint-Martin: La Guerre des Mondes, de Spielberg. Excellent film, très impressionnant, même réduit à l'écran de télévision. Et 4 enseignements politiques pour un spectacle qui se veut pourtant de pure distraction. Mais le réalisateur n'est pas n'importe qui, et Spielberg est beaucoup plus et mieux qu'un amuseur public:
1- C'est un film, peut-être le premier, post-11 septembre. Les créatures, que personne ne désigne comme des extra-terrestres, sont à peine nommées, mais les scènes d'attaques rappellent les attentats contre le World Trade Center: mêmes mouvements de foule, mêmes personnages couverts de poussière grise, même avion écrasé, même réaction: ce sont les "terroristes". Car la terreur est le maître mot du film. Ces créatures, sortes d'insectes mécaniques, attendaient sous terre d'être réveillées, depuis des millénaires. Comment ne pas y voir la métaphore de l'agent islamiste "dormant", qui attend le signal pour agir? Tout le film est une vaste métaphore rappelant le 11 septembre. En ce sens, c'est une oeuvre littéralement traumatisante.
Du coup, nous sommes assez loin de la première version de la Guerre des Mondes et des films de science-fiction des années 50 et 60, dans lesquels l'extra-terrestre était clairement identifié, lui et ses soucoupes volantes. C'est qu'à l'époque, la métaphore de la "guerre froide" était plus précise, créant certes la peur, mais non comme aujourd'hui l'angoisse: L'ennemi, c'était le Soviétique et son armée, risquant d'envahir ou de bombarber le territoire américain. Le terroriste, lui, est sans base, sans visage. A peine a-t-il une idéologie. Il ne vise pas à conquérir mais à détruire. Avec le Soviétique, on pouvait discuter. Pas avec le terroriste. C'est beaucoup plus angoissant. Dans les années 70, avec la "coexistence pacifique", la métaphore va devenir positive: L'extra-terrestre devient un ami, dans E.T. ou Rencontres du 3ème type.
2- Cependant, cette métaphore est moins pertinente dans le film de Spielberg, qui porte l'hallucination beaucoup trop loin. La menace terroriste, certes gravissime, est cependant sans commune mesure avec le danger soviétique, qui représentait la possibilité d'une 3ème guerre mondiale, pire, d'un conflagration atomique. Rien de tel avec l'islamisme, qui ne peut pas grand-chose contre l'hyperpuissance américaine. Et pourtant, jamais les Soviétiques n'ont fait l'équivalent des attentats du Word Trade Center. Le pire aura été l'installation de fusées à Cuba. Nous sommes donc, avec La Guerre des Mondes, dans un paradoxe et une métaphore tronquée.
3- Le héros, joué par Tom Cruise, est un ouvrier, un docker, ce qui est rare dans ce genre de film, qui met plutôt en avant des personnages de la classe moyenne. Celle-ci est d'ailleurs absente de l'histoire, qui met en scène des foules issues des catégories populaires. Il n'y a qu'au début, brièvement, qu'apparait un "bourgeois", le compagnon de l'ex-femme du héros. C'est rare et c'est significatif. Ce film patriote (rangée de drapeaux américains au devant des maisons, fils de Cruise qui veut suivre, fasciné, l'armée) s'adresse au coeur de la nation américaine, les couches populaires, qui d'une certaine façon n'ont pas été touchées par les attentats du 11 septembre (le Word Trade Center, ce sont les cadres, les hommes d'affaires, les couches moyennes). Spielberg a manifestement voulu convaincre le prolo et le redneck (bouseux américain) que l'islamisme n'atteignait pas seulement la ville cosmopolite de Manhattan mais l'Amérique profonde. Mais on est très loin du patriotisme bébête d'Indépendance Day.
4- Le film commence et se termine sur des images microscopiques de cellules et de bactéries qui, dans toute leur petitesse infinitésimale, vont vaincre les horribles créatures, les "tripodes", ceux-ci n'ayant pas su s'adapter à la vie sur Terre. Ce qui signifie que cette Guerre des Mondes n'est pas une guerre, pas plus que ne l'est le conflit entre les Etats et les terroristes. Un personnage le dit: "ce n'est pas une guerre, pas plus qu'il n'y a de guerre entre les hommes et les vers de terre. C'est une extermination." Et la victoire, par conséquent, ne sera pas non plus une victoire: c'est une réaction vitale et virale qui entraîne la destruction des extra-terrestres, pas une action humaine, militaire ou héroïque. Cette métaphore biologique a aussi quelque chose d'inquiétant. Nous ne sommes pas dans un combat entre ennemis mais dans une lutte pour la vie et la survie, où c'est une forme de vie qui a le dernier mot sur une autre forme de vie. En ce sens, ce film n'est pas du tout humaniste. L'espoir ne vient que de la nature qui va détruire les intrus à l'écosystème. Inquiétant, très inquiétant. Mais passionnant.
Bon après-midi.
J'ai regardé hier soir l'un des DVD que je me suis acheté dimanche à Saint-Martin: La Guerre des Mondes, de Spielberg. Excellent film, très impressionnant, même réduit à l'écran de télévision. Et 4 enseignements politiques pour un spectacle qui se veut pourtant de pure distraction. Mais le réalisateur n'est pas n'importe qui, et Spielberg est beaucoup plus et mieux qu'un amuseur public:
1- C'est un film, peut-être le premier, post-11 septembre. Les créatures, que personne ne désigne comme des extra-terrestres, sont à peine nommées, mais les scènes d'attaques rappellent les attentats contre le World Trade Center: mêmes mouvements de foule, mêmes personnages couverts de poussière grise, même avion écrasé, même réaction: ce sont les "terroristes". Car la terreur est le maître mot du film. Ces créatures, sortes d'insectes mécaniques, attendaient sous terre d'être réveillées, depuis des millénaires. Comment ne pas y voir la métaphore de l'agent islamiste "dormant", qui attend le signal pour agir? Tout le film est une vaste métaphore rappelant le 11 septembre. En ce sens, c'est une oeuvre littéralement traumatisante.
Du coup, nous sommes assez loin de la première version de la Guerre des Mondes et des films de science-fiction des années 50 et 60, dans lesquels l'extra-terrestre était clairement identifié, lui et ses soucoupes volantes. C'est qu'à l'époque, la métaphore de la "guerre froide" était plus précise, créant certes la peur, mais non comme aujourd'hui l'angoisse: L'ennemi, c'était le Soviétique et son armée, risquant d'envahir ou de bombarber le territoire américain. Le terroriste, lui, est sans base, sans visage. A peine a-t-il une idéologie. Il ne vise pas à conquérir mais à détruire. Avec le Soviétique, on pouvait discuter. Pas avec le terroriste. C'est beaucoup plus angoissant. Dans les années 70, avec la "coexistence pacifique", la métaphore va devenir positive: L'extra-terrestre devient un ami, dans E.T. ou Rencontres du 3ème type.
2- Cependant, cette métaphore est moins pertinente dans le film de Spielberg, qui porte l'hallucination beaucoup trop loin. La menace terroriste, certes gravissime, est cependant sans commune mesure avec le danger soviétique, qui représentait la possibilité d'une 3ème guerre mondiale, pire, d'un conflagration atomique. Rien de tel avec l'islamisme, qui ne peut pas grand-chose contre l'hyperpuissance américaine. Et pourtant, jamais les Soviétiques n'ont fait l'équivalent des attentats du Word Trade Center. Le pire aura été l'installation de fusées à Cuba. Nous sommes donc, avec La Guerre des Mondes, dans un paradoxe et une métaphore tronquée.
3- Le héros, joué par Tom Cruise, est un ouvrier, un docker, ce qui est rare dans ce genre de film, qui met plutôt en avant des personnages de la classe moyenne. Celle-ci est d'ailleurs absente de l'histoire, qui met en scène des foules issues des catégories populaires. Il n'y a qu'au début, brièvement, qu'apparait un "bourgeois", le compagnon de l'ex-femme du héros. C'est rare et c'est significatif. Ce film patriote (rangée de drapeaux américains au devant des maisons, fils de Cruise qui veut suivre, fasciné, l'armée) s'adresse au coeur de la nation américaine, les couches populaires, qui d'une certaine façon n'ont pas été touchées par les attentats du 11 septembre (le Word Trade Center, ce sont les cadres, les hommes d'affaires, les couches moyennes). Spielberg a manifestement voulu convaincre le prolo et le redneck (bouseux américain) que l'islamisme n'atteignait pas seulement la ville cosmopolite de Manhattan mais l'Amérique profonde. Mais on est très loin du patriotisme bébête d'Indépendance Day.
4- Le film commence et se termine sur des images microscopiques de cellules et de bactéries qui, dans toute leur petitesse infinitésimale, vont vaincre les horribles créatures, les "tripodes", ceux-ci n'ayant pas su s'adapter à la vie sur Terre. Ce qui signifie que cette Guerre des Mondes n'est pas une guerre, pas plus que ne l'est le conflit entre les Etats et les terroristes. Un personnage le dit: "ce n'est pas une guerre, pas plus qu'il n'y a de guerre entre les hommes et les vers de terre. C'est une extermination." Et la victoire, par conséquent, ne sera pas non plus une victoire: c'est une réaction vitale et virale qui entraîne la destruction des extra-terrestres, pas une action humaine, militaire ou héroïque. Cette métaphore biologique a aussi quelque chose d'inquiétant. Nous ne sommes pas dans un combat entre ennemis mais dans une lutte pour la vie et la survie, où c'est une forme de vie qui a le dernier mot sur une autre forme de vie. En ce sens, ce film n'est pas du tout humaniste. L'espoir ne vient que de la nature qui va détruire les intrus à l'écosystème. Inquiétant, très inquiétant. Mais passionnant.
Bon après-midi.
14 Comments:
Je comprends mieux pourquoi vous ne voulez pas qu'on alourdissent les services des enseignants,
vous n'auriez plus le temps de regarder la télé
et à choisir entre enseigner plus et regarder un DVD nous connaissons votre préférence.
Je vous trouve terriblement impressionnant
-avoir réussi à faire un post sur ce sujet sans citer le roman originale de H.G. Wells
Penseur socialiste reconnu, était ce parce qu'il était anti-marxiste et stalinien ?
-ne pas évoquer l'adaptation radiophonique d'Orson Welles qui créa la panique le 30 octobre 1938
-et ne pas voir l'influence flagrante de la shoah dans l'oeuvre de spielberg, particulierement dans ce film...
vous me laissez terriblement reveur
mais apres tout votre conclusion est à votre image,
vous refusez de comprendre que rien n'est supérieur à la nature meme pas l'homme, surtout pas l'homme.
Sur l'influence du 11 septembre, le projet date du milieu des années 90, il a été retardé suite à la sortie d'ID4 et suite au 11 septembre
etant donné que c'est un film produit en 2004 oui c'est un film post 11 septembre 2001.
sinon restez dans les adaptations de H.G. Wells et allez plutot regarder du coté de La machine à explorer le temps de Simon Wells et Gore Verbinski sorti en 2002
et je ne parle meme pas des épisodes 2 et 3 de star wars.
Et puis collateral damage n'est pas mal en terme de terrorisme et de vengeance.
Comme vous l'avez dit, j'ai bcp de loisirs et semble t il, je sais comment les utiliser.
A vous lire, vous avez l'air d'ignorer que le cinéma américain est tres codifié, qu'il y a des figures imposés dans les films de genre
qu'il s'agisse de l'horreur ou de la science fiction
et que pour une invasion extra-terrestre il n'y a que 2 options
massives et destructrices
comme dans ID4, starship troopers ou cloverfield
ou plus discrete en passant par l'amérique profonde comme dans body snatchers ou the faculty.
By grandourscharmant, at 4:56 PM
Un homme qui ne tient pas ses promesses ne mérite que le mépris. Vous aviez juré de ne pas intervenir sur ce blog pendant une semaine, vous n'avez tenu que quelques heures, faible que vous êtes! Vous ne pouvez plus vous passer de moi, ours piteux.
By Emmanuel Mousset, at 8:07 PM
Je pars une journée et c'est le drame
on me réclame
je n'interviens pas, on s'imagine que j'interviens anonymement.
que voulez vous, j'ai bien compris que le faible niveau et le manque de profondeur des derniers posts étaient des appels au secours pour me forcer à rester.
dimanche brocante
lundi dvd
mardi broderie ou macramé ?
heureusement que je suis là pour faire encore un peu de politique ici.
jpb, les anonymes flattent mon égo, je dois avoir une poussée narcissique
vous vous etes un mal nécessaire, une interface.
Le catalyseur qui tient tellement à diviser pour régner qu'il réussit juste à fédérer les énergies contre lui.
By grandourscharmant, at 9:06 PM
J'en resterai à la pitié que vous m'inspirez. Comme vous devez être malheureux pour tenir ce genre de propos! Est-ce votre engagement à droite qui produit ça? Venez à gauche, on y est plus joyeux.
By Emmanuel Mousset, at 9:17 PM
Le commentaire de GOC sur le film de Spielberg mérite mieux que des commentaires psychologisants sur la pitié,.."vous devez etre malheureux"etc..Arguments que vous rejetez généralement lorsqu'ils vous sont adressés.
Il est possible que l'on soit plus joyeux à gauche mais pas vous quand même. Vous etes tout sauf un type drole, marrant et joyeux.
By Anonyme, at 9:37 PM
Pour être un homme joyeux à gauche, il faut avoir des ongles noir et être capable de vider le bar du PC...
LVM
By Anonyme, at 9:51 PM
mon engagement à droite,
c'est ce qui me sauve.
Ne cherchez pas à me guérir le mal est incurable.
tout s'est surement décidé le jour où j'ai décidé de ne pas aller voir le premier ministre Fabius, j'avais trouvé excessif qu'il fasse atterrir son hélico à ribaudois, tout ça pour couper un ruban.
Les valeurs de solidarité et de respect qu'on m'a inculqué, ce n'est quand meme pas pour que je les trahisse étant adulte.
Je vous l'ai dit l'ump veut etre un parti démocratique, social et libéral, je ne peux etre qu'en accord avec cela.
Je sais j'ai toujours été trop sensible, mais c'est parce que je suis humain.
Si je n'étais pas malheureux de constater que mon interlocuteur se cache derriere sa bétise et sa malhonneteté en espérant cacher sa faiblesse qu'il n'arrive pas à assumer parce qu'il en est prisonnier
quel homme je serais si je n'étais pas sensible à cette souffrance
ça doit etre terrible d'avoir voulu donner un sens à sa vie au travers de la politique et de constater que finalement tout cela n'aura été qu'une façon de se fuir.
Je ne fais pas cela pour la reconnaissance ou l'admiration mais parce que c'est ce que je suis et que j'ai toujours été.
Essayez de faire croire à qui vous voulez qu'on est plus joyeux à gauche qu'à droite, mais je connais trop bien les choses pour ne pas savoir ce qu'il en est.
peut etre que les gens de droite sont plus pudiques, mais bcp des gens de gauche que je connais ne m'ont pas l'air si satisfait que ça de leur engagement à gauche.
By grandourscharmant, at 10:14 PM
A l'anonyme qui cire les pompes à GOC:
Mais si, je suis drôle, marrant et joyeux. Vous, par exemple, vous me faites rire. Vous voyez! Quel dommage que vous ne me connaissiez pas, vous pourriez encore mieux m'apprécier.
By Emmanuel Mousset, at 12:37 AM
A l'ours:
Si je comprends bien, vous êtes passé à droite pour une histoire superficielle (Fabius, son hélicoptère et un ruban) et vous avez continué dans le superficiel. Quel évènement enfin profond vous fera gagner en profondeur? J'attends.
By Emmanuel Mousset, at 12:41 AM
et comme d'habitude vous avez mal compris.
Je vous parle d'un temps que les moins de 20a ne peuvent pas connaitre
et vous qui avez plus de 20a, vous ne connaissez rien de ce temps.
Ah ça quand il est question de célébrer le parisianisme de mai 68,
cela vous intéresse, mais la vie de la circonscription il y a 20a
vous n'étiez pas là, ça ne devait pas avoir d'importance.
Si apres vous voulez qu'on parle de la rigueur de 83, de l'explosion du chomage, de la création des restos du coeur en 85, de la façon dont les socialistes ont abandonné le mouvement ouvrier,
de l'explosion des impots et des charges, du manque de rigueur de la comptabilité publique, de la part des salaires qui a décroché, du puritanisme et de la bien pensance de gauche.
Depuis ce temps, je pensais que vous vous étiez aperçu que j'accordais plus d'importances aux idées et à l'efficacité publique qu'aux hommes.
vous pensez que ce qui est compliqué c'est de faire confiance, mais une fois qu'on fait confiance, c'est éternel
J'ai toujours pensé que le plus difficile dans la confiance, ce n'était pas de l'acquérir mais de la conserver en étant à la hauteur.
c'est pour ça que je suis si critique sur l'emploi à vie ou sur les diplomes, que ce qu'on a pu faire compte bien sur
mais ce qui compte le plus, c'est ce qu'on fait aujourd'hui et ce qu'on fera demain.
Pour pouvoir grandir et laisser entrer de nouvelles choses dans sa vie, il faut savoir se séparer d'autres plus anciennes sinon il n'y aura plus de places disponible.
et platini ne serait pas président de l'uefa mais fer de lance de l'attaque des bleus.
Les générations sont faites pour se succéder.
By grandourscharmant, at 8:18 AM
Coupez votre commentaire en deux: Je suis en désaccord avec la première moitié et en accord avec la seconde.
By Emmanuel Mousset, at 11:01 AM
l'absentéisme de fin d'année est devenu incontournable . Ayant une grande expérience en la matiére , j'ai quelques pistes de réflexion :
- ras le bol de voir la tronche des profs quand ce n'est pas obligatoire
- provoc' : l'absentéisme énerve et l'administration et les prof . C'est ptêtre un prété pour un rendu .
L'absentéisme je l'ai pratiqué et mes fils sont des pros en la matière .
CONSTAT :
il se pratique de la 4éme à la terminale.
Pour ceux qui n'ont pas d'exam' en fin d'année , c'est tout bénef' . Je séche et je ne risque rien .
et surtout pourquoi venir en classe pour ne rien faire , à part voir les têtes d'ampoules . J'ai le souvenir d'heures de fin d'années qui n'en finissaient pa s avec les profs qui pour meubler nous faisaient des jeux casse couille de mono de colo.
La réalité :
pour les bons élèves c'est la fin d'un cycle , l'exam' quasi en poche , seule compte la mention . Alors pourquoi perdre du temps en transport, cantine ou alimentation sur place, alors que le programme de révision peut se faire total confort à la maison , les fiches sont prétes et les moyens technologiques de révision à portée de mains . Pourquoi se fader une perte de temps avec les naz qui se raccrochent aux branches , perte de temps et nous sommes dans une société où time is money.
Pour les branleurs , ça ne change rien car ils ont toujours été des branleurs. Et pour une fois qu'ils n'ont pas besoin d'excuses . Par contre entre 2 teufs, entre 2 match de foot , comme ils sont pas totalement crétins et que le bac c'est pas si dur , ben ils pourront ptêtre l'avoir
pour les loosers ; c'est cuit depuis qq semaines , remotivation à mettre en place, soirée entre potes qui vont se casser en fac . Pourquoi en remettre une louche en réalisant l'étendue de son incurie avec les profs .
J'ai pas de solution mais je trouve normale la réaction des jeunes ; VAL
By Anonyme, at 1:59 PM
Bon, mon billet sur et contre l'absentéisme n'a pas manifestement convaincu Val. Il va falloir que je propose d'autres solutions...
By Emmanuel Mousset, at 2:43 PM
Good post and this enter helped me alot in my college assignement. Thanks you for your information.
By Anonyme, at 7:09 PM
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