PPDA s'en va.
Bonjour à toutes et à tous.
PPDA s'en va, les médias ne parlent que de ça, la France parait-il est en émoi. Pas moi. PPDA ne m'a pas marqué. On me dit que c'est un "grand professionnel", selon la formule convenue. Je n'aime pas les formules convenues. Je trouve l'homme fade, lisse, sans personnalité. Rien de vraiment intéressant en lui, un être banal. C'est peut-être ce qui explique sa grande popularité. Il joue au dandy et à l'écrivain. Mais a-t-il gagné à ce jeu? Il animait une émission littéraire. Mais a-t-il été le Bernard Pivot de ces dernières années? J'en doute.
On s'extasie sur sa longue durée au journal de 20h00 de TF1. Ce réflexe est malheureusement français, le sentiment aristocratique que la durée est en soi une valeur, comme si la quantité l'emportait sur la qualité. Une vie de connerie ne vous rend pas intelligent. Ce qui compte, c'est ce qu'on fait, pas le temps qu'on met à le faire. Kennedy a gouverné peu longtemps, il a marqué le destin de l'Amérique. Les Bush s'y sont mis à deux, père et fils, pour durer. Mais qu'est-ce qu'on en retiendra?
De PPDA, je ne retiens rien en 20 ans de présentation du journal télévisé, sinon l'irritation qu'il provoquait en moi lorsque je le voyais s'entretenir avec les puissants du moment, surtout quand ils étaient de droite. Son journalisme de complaisance, à l'image de son personnage, était sans aspérité, déférent, rien à voir avec les grands journalistes anglo-saxons, indépendants, offensifs, parfois agressifs, qui sont pourtant les ferments de la démocratie.
Ce que j'ai gardé vaguement en mémoire de PPDA, c'est sa condamnation par la justice dans une histoire de pharmacies, ce qui ne l'a pas empêché de continuer à trôner au 20h00, alors que la déontologie pouvait le conduire à démissionner. En mémoire aussi cet interview bidonné de Fidel Castro, qui ne l'avait toujours amené à renoncer. Plus j'y pense, plus je me dis qu'il y a du Bertrand chez d'Arvor: une douceur affectée, pas un mot plus haut que l'autre, la religion du pragmatisme, le culte de l'efficacité, le soin mis à peaufiner son image, le tout cachant tant bien que mal une ambition féroce.
PPDA, c'est finalement quoi? Le premier représentant de l'idéologie TF1, dont il a occupé le journal du soir peu après que la chaîne ait été privatisée. Poivre au dîner, Pernaut au déjeuner, vous avez les deux piliers de cette idéologie, des journalistes transparents, des présentateurs éponges, qui s'imprègnent de l'air du temps, s'y soumettent, le restituent, ne contestent pas. En vérité, des présentateurs plus que des journalistes, pouvant d'ailleurs "présenter" presque n'importe quoi, pourvu que le public soit au rendez-vous. L'idéologie audimat, si vous préférez, une sorte de populisme télévisuel. Bien sûr, je ne conteste pas qu'il faille rechercher la popularité. Mais pas à n'importe quel prix.
A PPDA et Pernaut, j'oppose le couple qui a enchanté mon adolescence, sur la Une quand celle-ci appartenait au service public, dans les années 70: Gicquel et Mourousi. Le premier officiait au 20 heure, visage triste, regard abattu, poches sous les yeux, élocution parfois hésitante, aucune volonté de plaire, mais tellement humain, tellement vivant, une vraie gueule attachante. Son "La France a peur", au début d'un journal, a été un grand moment de dramaturgie, et depuis un morceau d'anthologie. Rien de comparable chez Poivre.
Mourousi, à 13 heure, c'était un autre personnage, à l'opposé de Gicquel: fantaisiste, marrant, audacieux jusqu'à l'inconscience, aimant les directs au coeur de l'actualité. S'asseoir sur le bureau du président de la République pour l'interviewer, il n'y avait que Mourousi pour oser ça, face à un Mitterrand devenu, du coup, à la fois "branché" et "cablé"! Cherchez bien chez PPDA et Pernaut, vous ne trouverez rien.
Mais je suis un peu injuste dans ma critique. J'ai apprécié PPDA, une seule fois, récemment, quand il a traité Nicolas Sarkozy, nouvellement élu, de "petit garçon", faisant joujou avec le pouvoir lors d'un sommet international. Enfin de l'audace, enfin de l'impertinence, enfin du persiflage envers un puissant! Serait-ce un sursaut de fin de carrière, la volonté in extremis de se comporter en homme libre, de rompre avec sa légende trop dorée sur papier glacé? Toujours est-il que ce mot si cruellement juste lui a valu, nous révèle-t-il aujourd'hui, son éviction par le "petit garçon" en question.
Poivre aura été libre et digne quelques secondes dans son existence professionnelle (je ne parle pas d'avant 1987, je ne connais pas), et même cela, un simple mot, a été insupportable au pouvoir en place. Là encore, je fais un parallèle avec Bertrand à Saint-Quentin: Tout sourire et poignée de mains, mais impitoyable envers la moindre incartade à son égard. Poivre aura ainsi appris sur le tard que la liberté se payait toujours, à un prix généralement élevé, mais qu'un peu de dignité résultait de cette transaction.
Bon après-midi.
PPDA s'en va, les médias ne parlent que de ça, la France parait-il est en émoi. Pas moi. PPDA ne m'a pas marqué. On me dit que c'est un "grand professionnel", selon la formule convenue. Je n'aime pas les formules convenues. Je trouve l'homme fade, lisse, sans personnalité. Rien de vraiment intéressant en lui, un être banal. C'est peut-être ce qui explique sa grande popularité. Il joue au dandy et à l'écrivain. Mais a-t-il gagné à ce jeu? Il animait une émission littéraire. Mais a-t-il été le Bernard Pivot de ces dernières années? J'en doute.
On s'extasie sur sa longue durée au journal de 20h00 de TF1. Ce réflexe est malheureusement français, le sentiment aristocratique que la durée est en soi une valeur, comme si la quantité l'emportait sur la qualité. Une vie de connerie ne vous rend pas intelligent. Ce qui compte, c'est ce qu'on fait, pas le temps qu'on met à le faire. Kennedy a gouverné peu longtemps, il a marqué le destin de l'Amérique. Les Bush s'y sont mis à deux, père et fils, pour durer. Mais qu'est-ce qu'on en retiendra?
De PPDA, je ne retiens rien en 20 ans de présentation du journal télévisé, sinon l'irritation qu'il provoquait en moi lorsque je le voyais s'entretenir avec les puissants du moment, surtout quand ils étaient de droite. Son journalisme de complaisance, à l'image de son personnage, était sans aspérité, déférent, rien à voir avec les grands journalistes anglo-saxons, indépendants, offensifs, parfois agressifs, qui sont pourtant les ferments de la démocratie.
Ce que j'ai gardé vaguement en mémoire de PPDA, c'est sa condamnation par la justice dans une histoire de pharmacies, ce qui ne l'a pas empêché de continuer à trôner au 20h00, alors que la déontologie pouvait le conduire à démissionner. En mémoire aussi cet interview bidonné de Fidel Castro, qui ne l'avait toujours amené à renoncer. Plus j'y pense, plus je me dis qu'il y a du Bertrand chez d'Arvor: une douceur affectée, pas un mot plus haut que l'autre, la religion du pragmatisme, le culte de l'efficacité, le soin mis à peaufiner son image, le tout cachant tant bien que mal une ambition féroce.
PPDA, c'est finalement quoi? Le premier représentant de l'idéologie TF1, dont il a occupé le journal du soir peu après que la chaîne ait été privatisée. Poivre au dîner, Pernaut au déjeuner, vous avez les deux piliers de cette idéologie, des journalistes transparents, des présentateurs éponges, qui s'imprègnent de l'air du temps, s'y soumettent, le restituent, ne contestent pas. En vérité, des présentateurs plus que des journalistes, pouvant d'ailleurs "présenter" presque n'importe quoi, pourvu que le public soit au rendez-vous. L'idéologie audimat, si vous préférez, une sorte de populisme télévisuel. Bien sûr, je ne conteste pas qu'il faille rechercher la popularité. Mais pas à n'importe quel prix.
A PPDA et Pernaut, j'oppose le couple qui a enchanté mon adolescence, sur la Une quand celle-ci appartenait au service public, dans les années 70: Gicquel et Mourousi. Le premier officiait au 20 heure, visage triste, regard abattu, poches sous les yeux, élocution parfois hésitante, aucune volonté de plaire, mais tellement humain, tellement vivant, une vraie gueule attachante. Son "La France a peur", au début d'un journal, a été un grand moment de dramaturgie, et depuis un morceau d'anthologie. Rien de comparable chez Poivre.
Mourousi, à 13 heure, c'était un autre personnage, à l'opposé de Gicquel: fantaisiste, marrant, audacieux jusqu'à l'inconscience, aimant les directs au coeur de l'actualité. S'asseoir sur le bureau du président de la République pour l'interviewer, il n'y avait que Mourousi pour oser ça, face à un Mitterrand devenu, du coup, à la fois "branché" et "cablé"! Cherchez bien chez PPDA et Pernaut, vous ne trouverez rien.
Mais je suis un peu injuste dans ma critique. J'ai apprécié PPDA, une seule fois, récemment, quand il a traité Nicolas Sarkozy, nouvellement élu, de "petit garçon", faisant joujou avec le pouvoir lors d'un sommet international. Enfin de l'audace, enfin de l'impertinence, enfin du persiflage envers un puissant! Serait-ce un sursaut de fin de carrière, la volonté in extremis de se comporter en homme libre, de rompre avec sa légende trop dorée sur papier glacé? Toujours est-il que ce mot si cruellement juste lui a valu, nous révèle-t-il aujourd'hui, son éviction par le "petit garçon" en question.
Poivre aura été libre et digne quelques secondes dans son existence professionnelle (je ne parle pas d'avant 1987, je ne connais pas), et même cela, un simple mot, a été insupportable au pouvoir en place. Là encore, je fais un parallèle avec Bertrand à Saint-Quentin: Tout sourire et poignée de mains, mais impitoyable envers la moindre incartade à son égard. Poivre aura ainsi appris sur le tard que la liberté se payait toujours, à un prix généralement élevé, mais qu'un peu de dignité résultait de cette transaction.
Bon après-midi.
24 Comments:
comme vous ne connaitrez jamais les sommets,
vous ne saurez jamais que le plus difficile ce n'est pas d'atteindre le sommet mais de pouvoir y rester.
votre choix a été fait depuis longtemps, la caricature plutot que le talent et l'intelligence.
Finalement c'est cela qui vous sauve
vous n'avez pas conscience de n'y rien comprendre donc cela ne peut vous déranger.
il y aurait tellement de chose plus intéressantes à dire sur tout cela
au lieu de dresser une statue à un vrai journaliste compétent qui avait su préserver un espace modeste certe, mais un espace quand meme pour le livre sur la télévision commerciale qu'était tf1.
Et bien quel est votre choix, le jour où cette homme s'en va, vous ne trouvez rien de mieux que frapper un homme à terre en le critiquant et en le méprisant
parce que ses convictions ne sont pas les votre, il ne peut rien avoir fait de bien.
vous etes superficiel, l'air du temps parle du départ de ppda, vous en parlez en répétant les aneries que vous avez entendu.
Vous n'avez pas l'envergure des combats que vous voulez mener
vous etes un suiveur, pas un meneur.
si vous aviez 2 sous de jugeotte
vous ne mettriez pas dans le meme commentaire, il s'est fait virer pour un mot de trop
et il n'a eu aucun mérite à durer
si tenté que cette hypothese soit la bonne, les journalistes seraient à la merci du pouvoir sur un siege éjectable au moindre mot de travers ils sautent
donc forcément le type qui est resté 20a c'est parce qu'il a été fat.
1erement, je ne partage pas votre avis, les choses ne se sont pas passées aussi simplement que vous le présentez
2ement savoir quand ne pas allez trop loin pour éviter de se discréditer dans son exercice professionnel, cela me semble etre plutot une qualité qu'un défaut
quand on est sur un fil, celui qui est malin c'est celui qui ne tombe pas, pas celui qui passe son temps à se ramasser.
By grandourscharmant, at 2:40 PM
Bon, l'ours s'écrie "vive PPDA"! Normal, l'homme de droite soutient l'homme de droite. Voilà qui confirme à merveille ma démonstration. Mais je n'en demandais pas tant.
By Emmanuel Mousset, at 4:17 PM
L'homme de droite défend l'homme de droite quelque soit ses compétences
l'homme de gauche attaque tous les hommes quelques soient leur compétences car meme s'ils sont de gauche, ils sont forcément moins compétent que l'homme de gauche qui les attaque et qui lui sait.
Du Devos, ceci est une farce
Homme de droite qui je dois le rappeler fait l'éloge et la promotion d'un magazine de football So Foot qui porte plutot à gauche.
C'est dire à quel point les convictions politiques d'un professionnel importe à l'homme de droite, c'est évidement la premiere chose qu'il regarde pour que son jugement soit objectif.
Pas du tout, la compétence de la personne.
Et si l'homme de droite regrette que la brillante journaliste ockrent ait quitté l'antenne maintenant qu'elle a un mari ministre de droite alors que du temps où son mari était ministre de gauche ça ne genait personne
c parce qu'elle a son mari dans un gouvernement de droite
que l'homme de droite est choqué
pas du tout parce qu'on a retiré de l'antenne une professionnelle compétente.
M'en voulez pas si je conclus et que je comprends
que quand on est à droite ce qui importe c'est que la personne soit compétente ou supposée telle
alors qu'à gauche par principé quelqu'un qui n'est pas de gauche ne peut pas etre compétent
et meme si la personne est de gauche mais pas du meme courant
forcément c'est qu'elle n'est pas compétente.
Et apres vous venez me demander pourquoi je suis de droite.
il va vraiment falloir que vous montiez un spectacle de vos meilleurs sketchs.
By grandourscharmant, at 4:32 PM
Je vous laisse dans vos délires...
By Emmanuel Mousset, at 7:41 PM
Emmanuel, vraiment excessif tout ça. Cette façon de classer les gens exclusivement entre droite\gauche a qqchose d'insupportable tellement c'est trop.
Dire que PPDA a été nul tout le temps(y compris dans ses émissions littéraires)et qu'il n'a été bon qu'une fois dans sa vie, lorsqu'il a dit que Sarkosy était un petit garçon...mais c'est vraiment d'un ridicule consommé.C'est ça le délire.Vraiment c'est nul!..
By Anonyme, at 11:02 PM
Oui ou non PPDA a-t-il pratiqué un journalisme de complaisance envers les puissant de ce monde, particulièrement lorsque ceux-ci étaient de droite? Voilà le problème, qui est autrement plus sérieux que les remontrances que vous m'adressez. Ma réponse est oui. Et la vôtre? Essayez de réfléchir un peu au lieu de geindre sur mes propos. Donnez votre point de vue, et là, ça deviendra intéressant. Mais cessez, je vous en prie, vos jérémiades. Ayez des idées, c'est tout ce que je vous demande. Mon blog n'est pas un confessionnal où l'on verse ses états d'âme.
By Emmanuel Mousset, at 11:29 PM
nous avons remarqué depuis longtemps que le role de confesseur ne vous intéressait pas
que seul celui du géniard
vous intéressait
on jurerait un pré-ado boutonneux,
mais pourquoi personne ne m'aime et tout le monde y veut etre mon ennemi
et pourquoi qu'odette elle est parti et m'a abandonné
et pourquoi que c pas bl qui est le plus mieux bien qu'est pas le chef, maintenant il veut plus jouer avec moi
et puis jpl et af ils me font rien que des miseres à vouloir me piquer la place qui est que pour moi ou mes copains mais que personne y veut nous donner
en plus moi, je sais faire tout plus mieux bien que les autres qui sont que tous des cons sauf moi.
et dire qu'on raconte que l'age bete passe en grandissant.
By grandourscharmant, at 1:22 AM
c'est une relecture et une reformulation intéressantes de mes propos. Je la trouve un tantinet subjective, mais ce n'est pas grave. Vous n'avez pas voulu hier de mon grand verre d'eau fraîche, votre bile noire est donc toujours là, il faut qu'elle se répande.
By Emmanuel Mousset, at 9:36 AM
quand je vois d'un coté, un professeur de philo aigri qui critique un salarié à terre qui est en passe de se faire licencier sans forcément avoir démérité, ni avoir commis de faute professionnelle,
et que je vois que cette enseignant prétend défendre les valeurs de gauche et etre contre les injustices
et que cet intervenant attend que le type ne soit plus rien pour le critiquer
et quand je met de l'autre coté de la balance, une lettre de soutien signée par 200 collaborateurs et subordonnés de la personne qui va perdre son job,
il y a de forte présomption sur qui était un grand professionnel .
A réclamer toujours l'impossible certains n'arrivent pas à concevoir qu'il ne peut etre fait plus que ce qui peut etre fait
By grandourscharmant, at 12:59 PM
PPDA, pauvre "salarié à terre"! Mais que va-t-il devenir? Au RMI, peut-être. Il ne pourra même pas bénéficier du RSA, si Bertrand tord à celui-ci le cou comme il l'a fait avec les 35 heures, après les protestations de Devedjian et de l'état-major de l'UMP.
L'ours, vous devriez faire appel à un syndicat, vous qui les aimez tant...
By Emmanuel Mousset, at 1:16 PM
EM
Je ne geins pas sur vos propos, ils m'indiffèrent, comme vous d'ailleurs. Je trouve simplement que vos propos sont excessifs et je le dis.
Ce que je pense de PPDA? Plutot un excellent professionnel comme en témoigne l'ensemble de la profession.Quelqu'un d'assez éclectique notamment dans le cadre de son émission littéraire.Et voila il n'est pas nécessaire de pousser des cris d'orfraie comme vous le faites.
By Anonyme, at 1:24 PM
bin moi je suis trés contente qu'il se barre le ppda. LE CASANOVA pour vieilles bourges mal baisées trop c'est trop . nous sommes dans une société de consommation : eh bien oui pour harry le sexy , oui pour claire chazal la quinka mignonne et non à laurence ferrari , aphrodisiaque du ptit nico . Le 20h n'existe que pour heurer le repos du soir, soit pour générer une discussion à table de la famille ( papa maman les enfants qui ne savent pas ce qu'ils font ensemble mais faut le faire , on le dit à la télé); soit pour se dire : "ben y a pire ailleurs ; soit pour ingurgiter les info tronquées et rester con.
EH POUAIS PPD y a plus fort que toi la ménagère de - de 50 ans qui régente et consomme .
OUI AUX MEC SEXY à la télé . val
By Anonyme, at 1:41 PM
je sais je devrais faire comme vous m'aplatir devant les institutions et n'attaquer que les hommes
bizarrement mon choix aura été d'etre critique vis à vis des institutions et d'apprécier les hommes.
S'il faut se méfier des hommes, en général, ils sont sincéres meme quand ils se trompent
il faut toujours etre plus critique vis à vis des institutions.
je sais j'ose m'attaquer aux corps constitués, les enseignants, les syndicats, les médias,..
tout ces lieux de pouvoir devant lesquels certains préferent se montrer bien dociles, afin d'etre toujours du coté du fort et du pouvoir.
Vos allégences à BL, OG et DSK, montre bien comment vous réagissez
allez à la mairie et accepter l'ouverture vous aurez amené à faire allégence à PA
or PA, c'est quand meme moins bien que DSK d'apres vous
DSK c'est plus puissant, on ne quitte pas un protecteur puissant pour un autre qui le serait moins.
By grandourscharmant, at 1:42 PM
A l'anonyme pro-PPDA:
Si mes propos et ma personne vous indiffèrent, pourquoi intervenez-vous sur ce blog? Vilain petit menteur, va!
By Emmanuel Mousset, at 2:30 PM
Pour continuer dans l'approche "esthétique" de Val et pour me fâcher irrémédiablement avec tous les fans de PPDA, je rappellerai que celui-ci avait une particularité physiologique unique au monde: Plus il vieillissait, plus ses cheveux étaient abondants!
By Emmanuel Mousset, at 2:34 PM
L'ours,
Vous déraisonnez! Vous allez finir en tapis de sol ou en descente de lit dans une maison de retraite, si vous n'y prenez pas garde. L'institution devant laquelle vous brûlez des cierges, c'est PPDA.
DSK, mon "protecteur"? Soyez un peu sérieux, ça n'est plus de votre âge de dire des bêtises comme ça. DSK a autre chose à faire au FMI qu'à penser à moi!
By Emmanuel Mousset, at 2:40 PM
le fait qu'il ne pense pas à vous,
ne signifie pas que vous ne pouvez pas penser à lui et vous prosterner devant sa photo,
sinon pourquoi l'auriez vous mise en évidence sur ce blog.
et c vrai qu'une présence féminine c tellement bien,
la libido de val devrait nous permettre d'etre encore plus pertinent politiquement.
quand je disais qu'on était dans le culte de l'image et du paraitre, plutot que de se poser la question de la compétence
mon propos n'aurait pas pu etre mieux illustré.
ce qui est juste dommage, c'est que val n'ai pas compris que tout cela signifiait à terme l'éviction du harry car quand en général on prend un n°2 pour remplacer à terme le n°1
quand arrive le jour où on change le n°1 si on ne donne pas la place au n°2 en prenant quelqu'un de l'extérieur,
cela signifie que les jours du n°2 sont comptés.
By grandourscharmant, at 3:03 PM
Comme je suis aussi sur la petite photo en question, je suppose que vous en déduisez que je me prosterne devant moi-même. Ceux qui sont vraiment atteints par cette névrose, et j'en connais quelques-uns, ne s'y prennent pas comme ça, croyez-moi.
By Emmanuel Mousset, at 5:37 PM
faites attention le journaliste qui se prosterne devant les puissants
et en négociation avec votre chaine préféré
à se demander pourquoi elle cherche à recruter un etre banal,
une chaine qui a prétend avoir fait de l'impertinence son leitmotiv.
quand je vous disais que ça fait un moment que vos analyses ne sont pas pertinentes.
By grandourscharmant, at 12:46 AM
Après avoir été critiqué, généralement par la gauche, PPDA est aujourd'hui adulé, y compris par une certaine gauche, parce qu'il est devenu le martyr de Sarkozy. J'essaie de rester conséquent avec moi même. Je n'adore pas ce que j'ai auparavant brûlé.
By Emmanuel Mousset, at 6:18 PM
comme quoi 2 conneries valent mieux qu'une.
bruler auparavant était déjà une connerie
continuer à le faite en est une 2e.
Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis et qui ne reconnaissent pas leurs erreurs.
By grandourscharmant, at 10:56 PM
Votre dialectique est inopérante, l'ours:
1- Ce que vous appelez "connerie" n'est pour moi que cohérence. Cohérence peut-être conne, mais cohérence quand même.
2- Quand au fameux proverbe sur "les imbéciles qui ne changent pas d'avis", s'il y a une formule imbécile, c'est bien celle-là. Car changer d'avis n'est pas en soi le critère de l'intelligence.
By Emmanuel Mousset, at 4:24 PM
le contraire non plus.
By Anonyme, at 8:47 PM
Tout formule systématique est fausse, celle-là aussi bien que son contraire. Une formule toute faite est une formule mal faite.
By Emmanuel Mousset, at 3:34 PM
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