Le sparadrap de Sarkozy.
Bonjour à toutes et à tous.
Connaissez-vous la façon la plus coutumière de se débarrasser d'un adversaire politique ? Je vais vous expliquer. D'abord, il ne faut surtout pas discuter de politique avec lui, vous lui donneriez ainsi une légitimité, une forme de reconnaissance qui serait pour lui une première petite victoire. Et puis, un adversaire coriace peut très bien retourner les arguments contre vous. Ce serait embêtant.
Non, il faut s'y prendre autrement, dire que l'adversaire en question est un homme seul, qu'il n'a rien d'intéressant à dire ou bien qu'il dit n'importe quoi. Les plus audacieux ajouteront une dose de morale et une pincée de psychologie, toujours utiles pour discréditer l'autre. L'idéal serait encore d'ignorer l'adversaire, de faire comme s'il n'existait pas. Mais là, c'est réservé à quelques grands politiques qui ont la maîtrise d'eux-mêmes. En général, l'être humain ne peut pas s'empêcher de réagir (regardez les commentaires sur ce blog). Surtout quand l'adversaire lui colle aux doigts comme le sparadrap du capitaine Haddock.
Cette méthode politique, je vous en parle ce matin parce qu'elle est la plus répandue. Et pourquoi ? Parce que c'est la plus simple, parce qu'elle s'adresse à la partie la plus crétine en chacun d'entre nous (certains l'ont cependant plus développée que d'autres). Ceci dit, cette méthode n'est pas la mienne. Au contraire, quand je suis devant un adversaire ou un rival politiques, j'essaie de comprendre sa ligne, sa cohérence, et je la discute, j'explique pourquoi je suis contre. Et je respecte la personne, sans m'immiscer dans son caractère ou sa personnalité.
Pourquoi vous dire tout ça ce matin, que vous connaissez un peu si vous êtes un lecteur fidèle de ce blog ? Parce que l'actualité m'y fait penser. Sortant du procès Clearstream, Villepin a clairement indiqué dans les médias qu'il se posait, contre Sarkozy, en "alternative républicaine". Surtout, il y a ce dîner d'hier, au milieu de 1 000 convives, où Villepin a discouru avec sa superbe habituelle.
Il faudrait être fou pour dire que cet homme est seul, qu'il n'a rien à dire ou qu'il dit n'importe quoi. C'est pourtant la tentation à droite, en vertu de la méthode que j'ai précédemment exposée. Ce n'est pas tant les 1 000 qui m'impressionnent (c'est un peu comme si j'invitais dans mon salon cinq personnes pour préparer les prochaines municipales, et encore la proportion n'est pas fidèlement respectée !). Mais c'est le fait d'avoir été Premier ministre : qui peut soutenir que ça compte pour du beurre ?
Villepin est pour le moment le sparadrap de Sarkozy, qui peut se transformer en boulet avec le temps. Car cette "alternative républicaine", il lui faudra bien la définir. Se contenter de dénoncer "l'esprit de cour" ne fait pas encore une politique.
Bonne matinée.
Connaissez-vous la façon la plus coutumière de se débarrasser d'un adversaire politique ? Je vais vous expliquer. D'abord, il ne faut surtout pas discuter de politique avec lui, vous lui donneriez ainsi une légitimité, une forme de reconnaissance qui serait pour lui une première petite victoire. Et puis, un adversaire coriace peut très bien retourner les arguments contre vous. Ce serait embêtant.
Non, il faut s'y prendre autrement, dire que l'adversaire en question est un homme seul, qu'il n'a rien d'intéressant à dire ou bien qu'il dit n'importe quoi. Les plus audacieux ajouteront une dose de morale et une pincée de psychologie, toujours utiles pour discréditer l'autre. L'idéal serait encore d'ignorer l'adversaire, de faire comme s'il n'existait pas. Mais là, c'est réservé à quelques grands politiques qui ont la maîtrise d'eux-mêmes. En général, l'être humain ne peut pas s'empêcher de réagir (regardez les commentaires sur ce blog). Surtout quand l'adversaire lui colle aux doigts comme le sparadrap du capitaine Haddock.
Cette méthode politique, je vous en parle ce matin parce qu'elle est la plus répandue. Et pourquoi ? Parce que c'est la plus simple, parce qu'elle s'adresse à la partie la plus crétine en chacun d'entre nous (certains l'ont cependant plus développée que d'autres). Ceci dit, cette méthode n'est pas la mienne. Au contraire, quand je suis devant un adversaire ou un rival politiques, j'essaie de comprendre sa ligne, sa cohérence, et je la discute, j'explique pourquoi je suis contre. Et je respecte la personne, sans m'immiscer dans son caractère ou sa personnalité.
Pourquoi vous dire tout ça ce matin, que vous connaissez un peu si vous êtes un lecteur fidèle de ce blog ? Parce que l'actualité m'y fait penser. Sortant du procès Clearstream, Villepin a clairement indiqué dans les médias qu'il se posait, contre Sarkozy, en "alternative républicaine". Surtout, il y a ce dîner d'hier, au milieu de 1 000 convives, où Villepin a discouru avec sa superbe habituelle.
Il faudrait être fou pour dire que cet homme est seul, qu'il n'a rien à dire ou qu'il dit n'importe quoi. C'est pourtant la tentation à droite, en vertu de la méthode que j'ai précédemment exposée. Ce n'est pas tant les 1 000 qui m'impressionnent (c'est un peu comme si j'invitais dans mon salon cinq personnes pour préparer les prochaines municipales, et encore la proportion n'est pas fidèlement respectée !). Mais c'est le fait d'avoir été Premier ministre : qui peut soutenir que ça compte pour du beurre ?
Villepin est pour le moment le sparadrap de Sarkozy, qui peut se transformer en boulet avec le temps. Car cette "alternative républicaine", il lui faudra bien la définir. Se contenter de dénoncer "l'esprit de cour" ne fait pas encore une politique.
Bonne matinée.
65 Comments:
A 3
Sans jamais répondre aux questions qui vous dérange , DE GAULLE et la nation , Henin et Beaumont , les solutions pour le malaise de CHAUNY etc... liste gigantesque , vous nous faites un billet sur le rebond de Villepint un homme jamais élu alors que des énormités sur la comptabilité publiques arrivent ce matin ... encore un sujet que vous avez déjà oublié , c'est vrai R Dosiéres est en charge des analyses mais est il revenu au PS ???
By Anonyme, at 10:59 AM
Au PS,
on ne doute de rien,
le type,
on le fout dehors,
on fait tout pour qu'il ne soit pas réélu,
on échoue
et ensuite on vient expliquer,
sur ces questions,
c'est vraiment le meilleur.
Il vaut mieux en rire qu'en pleurer,
le type le plus pertinent économique pour dénoncer le train de vie de l'Elysée,
le PS a tout fait pour l'étouffer.
Où comment illustrer,
au PS c'est l'appareil qui décide de tout,
pas la démocratie, ni la compétence.
Le député Dosiere avait été démocratiquement invité par sa section à ne pas se représenter.
By grandourscharmant, at 11:18 AM
Et à votre échelle chef de section ps c comme 1er ministre au niveau de la France.
Villepin est le meilleur,
Emmanuel a défilé dans les rues contre le CPE afin de le démontrer.
Tout comme le candidat Jospin était le meilleur,
au vu du nombre de manifestants que le ministre de l'éducation Jospin avait fait descendre dans la rue.
Là où vous vous trompez,
c'est qu'avec vous,
ce qu'il faut faire,
c'est discuter politique.
Vous n'y connaissez pas grand chose,
cela se voit assez vite.
C'est là où vous n'avez rien compris une fois de plus,
on ne peut pas discuter politique avec un adversaire qui ne veut pas en parler quand il n'a rien à dire sur le sujet.
Qu'il faut être idiot pour penser qu'ignorer un problème le fera disparaitre.
Vous nous donnerez la liste des grands politiques qui auraient ce genre d'attitude.
Je sais vous allez encore me reprocher mes listes,
mais on ne vous a pas appris à l'école qu'il fallait argumenter et justifier,
affirmer ne sert à rien,
si on a aucun élément pour étayer.
Je vous rassure ne nous les donner pas tous,
juste quelques uns et en quelles circonstances, ils se seraient comportés ainsi.
Vous ne le ferez pas,
je le sais,
car les agents de propagande ne se justifient jamais et n'expliquent jamais,
on verrait tout de suite clair dans leur jeu.
By grandourscharmant, at 11:26 AM
Apres le canard enchainé,
le picard déchainé,
le site devrait vous plaire.
http://www.jenfumelespicards.com/
By Anonyme, at 12:51 PM
Ce billet est assez extraordinaire. EM nous explique par le menu ce qu'il ne faut pas faire face à un adversaire politique en précisant que lui-même, bien entendu, ne tombe pas dans ce piège.
Or il suffit de regarder, disons les 10 derniers billets et commentaires pour voir:
1)Que EM ne sait pas ignorer un adversaire (il n'a pas la maitrise suffisante)
2)Qu'il introduit en permanence des notions de morale ou de psychologie.
Les exemples sont innombrables:
la plupart de ses commentaires commencent par "c'est une stupidité" "vous êtes fou", "il est con ce Besson", "vous êtes drogué", "vous avez bu"etc, etc...
La raison fondamentale de tout cela c'est que, lorsque l'on écrit tous les jours, on est forcémént dans l'immédiateté, dans le superficiel, on réagit trop vite et surtout on se contredit.
aucun homme politique sérieux ne ferait cela.
D'abord parce qu'il faut avoir quand même un boulot pas vraiment contraignant pour passer des heures à faire des commentaires dont il reconnait lui même qu'il a connu des productions intellectuelles plus élevées.
Par ailleurs avoir éventuellement des prétentions politiques et concentrer sur son nom autant d'inimitiés venant de son propre camp, c'est tout simplement impossible et infaisable.
By Anonyme, at 2:24 PM
La rédaction de ce blog est régie par deux principes :
1- La courtoisie m'incite à répondre, quand je le peux, aux commentaires qu'on a la gentillesse de m'envoyer.
2- Les réponses sont toujours à hauteur du commentaire. Si celui-ci est manifestement idiot (il y en a tout de même quelques-uns !), je lui renvoie la politesse.
Tout ça est donc, comme vous pouvez le constater, très maîtrisé. Et puis, n'ai-je pas le droit, à certains moments, de me détendre, de m'amuser ? Il n'y a pas de mal à ça, sauf si vous êtes un grincheux.
Les dernières remarques de votre commentaire illustrent parfaitement ma démonstration : à défaut d'arguments, vous en venez vite à des critiques personnelles qui n'ont plus rien de politiques.
By Emmanuel Mousset, at 3:09 PM
A 3
DE GAULLE ET LA NATION dites , c' est pour quand la réponse ??
DELENDA CARTHAGO
By Anonyme, at 4:27 PM
Il fut un temps où vous pouviez me répondre.
Merci d'avoir souligné la gentillesse dont je fais preuve à votre égard.
Et je ne vous en veux pas de ne pas pouvoir me répondre,
cela montre que mon contact vous aura fait progresser.
By grandourscharmant, at 4:33 PM
anonyme de 10h59 et grand ours, expliquez nous : si dosière a un sparadrap, qui l'a blessé - ou bien est-ce le contraire ?
By Anonyme, at 8:00 PM
Règlement de comptes sanglant sur le site du FIGARO : Charles Pasqua flingue ses anciens amis !
Sur le site internet du Figaro, mercredi 28 octobre, Charles Pasqua jette quelques bombes. En tout, Charles Pasqua balance huit hommes politiques :
Pour la période 1993-1995 : François Mitterrand, Edouard Balladur (Balladur est littéralement flingué par Pasqua dans cet interview), Edmond Alphandéry, François Léotard.
Pour la période 1995-1998 : Jacques Chirac, Alain Juppé, Jean Arthuis, Charles Millon.
Dans cet interview extraordinaire, Charles Pasqua ne prend plus de gants, il flingue, il balance, il dénonce, il donne les noms, il ne correctionne plus, il dynamite, il disperse, il ventile.
LE FIGARO. - Vous n’étiez pas mardi à l’audience pour la lecture du verdict sur l’Angolagate. Aviez-vous peur d’un mandat de dépôt à l’audience ?
Charles PASQUA. - Pas du tout. Je n’ai pas eu peur de la prison. Je vous rappelle que je suis parlementaire et que l’immunité ça existe. Personne ne savait d’ailleurs ce que le tribunal allait dire. Mes avocats, qui m’avaient conseillé de m’y rendre, étaient plutôt optimistes : ils pensaient même à une relaxe ! Lorsqu’on est venu m’annoncer la décision, dans l’après-midi, je me suis dit qu’il s’agissait d’un jugement aberrant.
LE FIGARO. - Le porte-parole du gouvernement laisse entendre que votre demande de levée du secret-défense pourrait être examinée. Qu’en attendez-vous ?
Charles PASQUA. - Je vois que cela progresse… Tant mieux ! Dans l’affaire de l’Angolagate, de nombreux documents ont été classifiés secret-défense, et le tribunal n’a pas pu y avoir accès. Or, avec ces documents, on aura la preuve que tout le monde était au courant des ventes d’armes à l’Angola.
LE FIGARO. - Tout le monde ? Qui visez-vous ?
Charles PASQUA. - Le président de la République, le premier ministre, le ministre des Finances et le ministre de la Défense. Tous les quatre étaient forcément au courant. LE FIGARO. - De quelle période parlez-vous ?
Charles PASQUA. - Sous le mandat de François Mitterrand de 1993 à 1995, puis sous la présidence Chirac de 1995 à 1998. Plus, les deux premiers ministres concernés que sont Édouard Balladur et Alain Juppé.
LE FIGARO. - Édouard Balladur a pourtant affirmé hier « ne pas avoir eu d’information » au sujet de ce trafic d’armes…
Charles PASQUA. - Balladur peut dire ce qu’il veut. Malheureusement pour lui, un document a été présenté au tribunal montrant que son directeur de cabinet lui avait fait remonter une note. M. Balladur n’a plus de mémoire, cela peut arriver.
http://www.lefigaro.fr/politique/2009/10/29/01002-20091029ARTFIG00007-charles-pasqua-que-chirac-prenne-ses-responsabilites-.php
By Anonyme, at 9:42 PM
A 3
DE GAULLE et la nation , vous êtes dans les archives , ne vous mettez pas à faire une thése ; qques lignes devraient suffir
DELENDA CARTHAGO
By Anonyme, at 10:47 PM
Charly n'en aurait pas oublié un de 1er ministre de 97 à 98,
un certain Lionel,
un ministre de la défense,
un certain Alain
et si le ministre de l'économie et des finances ne pouvait l'ignorer celui de l'époque s'appelait Dominique,
je crois.
By Anonyme, at 10:30 AM
Pour Royal,
l'identité nationale,
c'est un vrai débat et qui est fondamental,
pour Valls aussi.
By Anonyme, at 12:40 PM
C'est un débat intellectuel engagé depuis longtemps déjà, ce n'est pas le débat politique du moment.
By Emmanuel Mousset, at 1:22 PM
Alors mélangeons les intellectuels et les politiques.
By Anonyme, at 1:38 PM
En france,
ça finit toujours en partouze.
By Anonyme, at 2:03 PM
Je croyais que ça finissait en chansons ?
Intellos et politiques, ce sont deux genres différents. Vouloir que les premiers soient instrumentalisés par les seconds n'est pas une bonne idée.
By Emmanuel Mousset, at 3:35 PM
Donc on ne peut pas débattre avec tout le monde, il faut organiser des catégories particulières?
By Anonyme, at 8:58 PM
A 3
alors ça s' appelle << tournez manége >> avec CAUET , on élimine ...
aucun rapport à priori entre
SC et EM simplement un style de rencontre par élimination ; attendons le commentaire de EM , ça pourrait décoiffer !!!
By Anonyme, at 10:36 PM
A 8.58 :
On peut et doit débattre avec tout le monde, mais pas sur n'importe quoi : l'identité nationale, c'est n'importe quoi.
By Emmanuel Mousset, at 10:40 PM
Encore un sujet sur lequel vous allez finir ultraminoritaire,
apres polanski et mitterrand,
Ca comment à faire beaucoup,
ce n'est pas comme ça qu'rassemble.
By Anonyme, at 9:02 AM
Le problème dans la vie ou en politique, ce n'est pas de savoir si on est minoritaire ou pas mais si on est en phase avec ses convictions ou pas. Le rassemblement vient après, en entraînant les autres, pas en se soumettant à leurs points de vue souvent contradictoires et changeants.
By Emmanuel Mousset, at 12:11 PM
A 3
Un rapport évident entre Julien COURBET et Emmanuel MOUSSET
<< Besoin d' être au devant de la scéne
de vouloir résoudre des problémes complexes
besoin d'exprimer une certaine agressivité
mais différence ; COURBET ne peut être grossier sinon il est viré par ses employeurs au sens large ou attaqué par les partenaires occasionnels et divers de l'émission
COURBET est entouré
d' ultra spécialistes qui lui évitent les bourdes et erreurs .. IL A MANIFESTEMENT une équipe qui vit bien ce parcours , pour EM qu'en est il , c'est plutot la GALERE !!!!!
By Anonyme, at 12:35 PM
quand on se retrouve systématiquement seul,
sur quasiment tous les sujets,
il y a d'autres questions à se poser.
By Anonyme, at 12:38 PM
Tous les autres ne peuvent pas avoir tort,
tout le temps,
sur tous les sujets.
C'est statistiquement impossible.
By Anonyme, at 1:01 PM
Tous les cinglés sont toujours en phase avec eux mêmes et ils ont même des convictions fortes.
C'est encore un argument qui ne tient pas.
By Anonyme, at 1:37 PM
Dire qu'un débat sur l'identité nationale n'a pas de sens vous devriez le dire à Ségolène, à Valls, Peillon et beaucoup d'autres.
Encore une mauvaise cible. Non franchement vous devriez vous "opposer autrement", ne pas "réagir" mais "agir", "on fait quoi?", etc etc, bref il faut appliquer à vous même ce que vous préconisez pour les autres.
By Anonyme, at 1:43 PM
Mais il agit,
il écrit ce blog,
c'est un sacré travail.
By Anonyme, at 2:15 PM
A 3
ON attend tjrs DE GAULLE et la nation etc ...
DITES NON je ne réponds pas , ce sera plus évident que de laisser planer un doute sur des affirmations sans conviction et re re re ...
By Anonyme, at 3:16 PM
A 12.38, 1.01, 1.37 et 1.43 :
Sur le débat à propos de l'identité nationale, vous ne pouvez tout de même pas dire que je suis le seul à le critiquer ! Honnêtement, qui sont les "cinglés" ?
By Emmanuel Mousset, at 4:34 PM
Bien sur que si on peut,
vous en avez des conneries autrement plus grosses.
By Anonyme, at 5:09 PM
Vous pouvez bien sûr dire n'importe quoi, mais ça reste du n'importe quoi.
By Emmanuel Mousset, at 7:36 PM
Vous avez enfin fini par comprendre,
vous ferez donc attention à vos paroles à l'avenir.
By Anonyme, at 8:36 PM
Comment pourrais-je comprendre le n'importe quoi ?
By Emmanuel Mousset, at 8:54 PM
c'est ce que je me dis à chaque fois que je lis l'un de vos posts
comment pourrais je comprendre le n'importe quoi.
By Anonyme, at 9:08 PM
Pourquoi continuez-vous à les lire alors ?
By Emmanuel Mousset, at 10:41 PM
Je sais bien que vous avez du mal à suivre mais votre réponse globale s'adresse à divers anonymes qui ne parlaient absolument pas du même sujet.
Faut commencer par lire.
By Anonyme, at 12:03 AM
Il faudrait surtout que les anonymes songent à s'identifier, ce qui éviterait bien des confusions. Mais vous savez pourquoi ils ne le font pas ...
By Emmanuel Mousset, at 5:34 PM
Ca demande juste un peu d'attention. Vous les appelez d'ailleurs par leur heure de commentaire et vous trouviez cela très bien.
Décidément pas de chance, ça ne va jamais.
By Anonyme, at 6:12 PM
Avoir des gueules de pendule devant moi, reconnaissez quand même que ce n'est pas très drôle ...
By Emmanuel Mousset, at 6:29 PM
Et nous on a votre gueule en photo vous croyez que c'est drôle peut être?
By Anonyme, at 9:36 PM
A 3
FAUT pas vous exciter
quand y veut pas réponder , cherchez les raisons , même chose qd il répond à côté de la plaque ...
By Anonyme, at 10:03 PM
A 9.36 :
Je n'ai pas une gueule de pendule. Et puis, je trouve que cette prise de vue rend un effet pas si mal.
By Emmanuel Mousset, at 10:53 AM
C'est notre quasimodo à nous.
Est ce que toucher sa bosse porte bonheur ?
By Anonyme, at 11:18 AM
Tout dépend de laquelle vous parlez.
By Emmanuel Mousset, at 2:22 PM
Je n'en vois qu'une.
By Anonyme, at 2:33 PM
Celle que vous avez dans le dos.
By Anonyme, at 2:49 PM
A 2.33 :
C'est que vous voyez mal ou au mauvais endroit.
By Emmanuel Mousset, at 5:57 PM
A 2.49 :
Vous, c'est mieux mais encore inexact : j'en ai deux, un peu plus bas.
By Emmanuel Mousset, at 5:58 PM
Ah dans la bassesse vous êtes pas mal.
By Anonyme, at 6:38 PM
Eh oui, j'ai du talent en de nombreux domaines, ce qui étonne toujours.
By Emmanuel Mousset, at 1:00 PM
Vous pourriez vous épargner ce domaine là et nous l'épargner en même temps.
By Anonyme, at 1:04 PM
Heureusement que vous le dites,
cela n'est pas si flagrant.
By Anonyme, at 1:59 PM
Maintenant vous savez, vous n'aurez plus d'excuses.
By Emmanuel Mousset, at 2:25 PM
Plus d'excuses en effet pour vous imaginer pataugeant dans votre fange.
By Anonyme, at 3:10 PM
Je ne suis pas un canard.
By Emmanuel Mousset, at 6:09 PM
A 3
Encore le LOGO
??????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????????
By Anonyme, at 7:08 PM
Vous êtes plutôt un pourceau.
By Anonyme, at 8:13 PM
Savez-vous que le porc est un animal très proche de l'homme ? Beaucoup plus que le canard. En tout cas, je partage un point commun avec lui : être la victime de nombreux préjugés.
By Emmanuel Mousset, at 9:26 PM
sauf qu'avec lui contrairement avec vous,
on peut etre copain
et que chez lui tout est bon,
vous on cherche encore.
By Anonyme, at 9:27 PM
A 3
C' est l' infirmiére de EM qui va pas être contente , avec le porc et ses algues vertes , elle qui le suit partout avec son petit voile écolo ...
By Anonyme, at 6:16 AM
A 9.27 :
Copain comme cochon, c'est vrai que c'est pas trop mon truc. Un peu vulgaire.
By Emmanuel Mousset, at 2:22 PM
Oui mais dans le cochon tout est bon.
By Anonyme, at 2:27 PM
A 3
Copain comme cochon un peu vulgaire alors le reste de
la provocation cochonne ....
VITE le LOGO de décontamination !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
By Anonyme, at 2:55 PM
Il comprend les vannes,
ça progresse,
c bien.
Ma fréquentation l'aura fait progresser.
By grandourscharmant, at 3:10 PM
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